vignette|Alfred Rosenberg qui fut l’un des principaux inspirateurs des lois raciales nazies
Le parti nazi adopte et développe plusieurs doctrines reflétant ses conceptions des différentes « races humaines ». L'idéologie nazie propose une classification de ces prétendues races et, au cours des années 1930 et 1940, des relevés morphologiques sont entrepris sur plusieurs échantillons de populations.
Ces doctrines ont conduit aux massacres et génocides en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale.
Les nazis prétendaient constater l'existence d'une hiérarchie strictement scientifique dans l'espèce humaine. Les opinions d'Adolf Hitler sur les races et les peuples figurent dans divers passages de Mein Kampf et, en particulier, dans le chapitre 11 intitulé « Nation et race ». Les textes diffusés habituellement aux Jeunesses hitlériennes contenaient un chapitre consacré à « la race du peuple allemand », qui citait abondamment les documents de Hans Günther, pseudoscientifique et théoricien des races à l'ère nazie. Ce texte indiquait les races européennes en ordre descendant dans la hiérarchie du parti nazi :
race nordique en premier (y compris la branche des phaliques),
occidentale (méditerranéenne)
orientale (alpine)
Hitler considérait que la race aryenne constituait la catégorie supérieure de l'humanité. Selon la doctrine nazie, les Aryens au sang le plus pur étaient les Nordiques d'Allemagne, d'Angleterre, des Pays-Bas et de Scandinavie. D'après les nazis, les Allemands constituaient une branche méridionale de la population aryenne-nordique. Néanmoins, ce type était particulièrement présent au Nord de l'Allemagne et la doctrine du parti reconnaissait la présence de nombreux Allemands de souche « alpine ».
Le nazisme voyait dans les Hans et les Japonais des « Aryens de l'Est », des Aryens d'honneur et le « Herrenvolk de l'Orient » (c'est-à-dire la « race supérieure » de l'Orient).
Lorsque l'Allemagne envahit l'URSS en juin 1941, la Finlande participe pour récupérer les territoires cédés par le Traité de Moscou.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Le national-socialisme (en allemand Nationalsozialismus), plus couramment désigné en français sous l'abréviation nazisme (en allemand Nazismus), est l'idéologie politique du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP), parti politique d'extrême droite fondé en Allemagne en 1920 et dirigé par Adolf Hitler. Cette idéologie théorise une hiérarchie au sein d'une espèce humaine divisée en « races », au sommet de laquelle elle place la « race aryenne », à l'inverse de celles les plus détestées, les populations juives, slaves et tziganes, formant la classe des « sous-hommes », les Untermenschen.
vignette|Affiche de propagande nazie (v. 1938) prônant l'euthanasie des handicapés, avec cette légende : L'expression « vie indigne d'être vécue » (en allemand) était une désignation nazie pour les segments de la population qui, selon le régime nazi, n'avaient pas le droit de vivre. Ces personnes ont été ciblées pour être « euthanasiées » par l'État, généralement par la contrainte ou la duperie de leurs gardiens. Le terme incluait les personnes ayant de graves problèmes de santé et celles considérées comme nettement inférieures selon la politique raciale de l'Allemagne nazie.
Nordicism is an ideology which views the historical race concept of the "Nordic race" as an endangered and superior racial group. Some notable and seminal Nordicist works include Madison Grant's book The Passing of the Great Race (1916); Arthur de Gobineau's An Essay on the Inequality of the Human Races (1853); the various writings of Lothrop Stoddard; Houston Stewart Chamberlain's The Foundations of the Nineteenth Century (1899); and, to a lesser extent, William Z. Ripley’s The Races of Europe (1899).