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Le Projet is an American hard rock band from Los Angeles, California; Atlanta, Georgia; and Staten Island, New York. The band features lead vocalist Kevin Martin, guitarist Brian Quinn & bassist Adam Kury from the band Candlebox, guitarist Lenny Cerzosie from the band The Infinite Staircase, and drummer Morgan Rose from the band Sevendust. History The initial concept for this project began in 2013 when Martin, Rose and Cerzosie released a single to benefit victims of Hurricane Sandy called "The Pride" with Cerzosie's band The Infinite Staircase. Also featured on the track are Black Label Society's Zakk Wylde and John "JD" DeServio. The song spent six weeks in the American Mainstream Rock Radio Top 40 Chart, peaking at #27. The musicians gelled so well that talk began early on of future collaborations. With everyone's ever-changing schedules, it almost seemed impossible, that is, until a few months ago when the Cerzosie brothers reached out to everyone with a common break in

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AR-451: Architecture and construction of the city I

Ce cours propose des approches croisées permettant de clarifier les articulations des différentes échelles (architecturale, urbaine, territoriale). Il se propose d'étudier les modes de constitution d'un lieu par ses relations à ce qui lui est extérieur.

AR-452: Architecture and construction of the city II

Ce cours propose des approches croisées permettant de clarifier les articulations de deux échelles particulières: architecture et infrastructure. Il se propose d'étudier les modes de constitution d'un lieu par ses relations à ce qui lui est à la fois familier et pourtant étranger.

AR-427: History of housing

Le cours se focalise sur les moments les plus significatifs de l'histoire de l'habitation urbaine en Europe. L'accent est mis sur les types courants, ou les plus facilement répétés, de différentes classes sociales et qui ont particulièrement contribué à la définition du caractère urbain.

Abri urbain. Prototype d'une structure habitable

Chloé Birrer, Lisa Guiraud

Il est possible de trouver dans la ville des ressources en libre accès destinées à tous. De l'eau, une assise, un abri, la chaleur… Et pourquoi pas un espace de repos, un lieu pour passer la nuit? L'abri prend place dans les différents vides de la ville, entre deux bâtiments, dans un parc ou encore dans une friche non exploitée. Les nomades urbains, tels que le migrant, l'étudiant, l'artiste de passage ou encore le voyageur-explorateur, sont les potentiels utilisateurs de ces structures. Le projet s'articule sur deux niveaux, un rez public et un niveau supérieur habitable. Le niveau inférieur est une surface horizontale dédiée à n'importe quel utilisateur de la ville. Elle est parfois mobilier urbain, assise, gradin; un couvert ou encore une infrastructure. Le niveau supérieur offre le luxe minimum de pouvoir dormir à l'abri des intempéries et des dangers extérieurs. Un exosquelette brut et rugueux protège et contient dans sa partie supérieure un corps mou fait de tissus. La structure possède deux visages, de jour elle est ouverte et transparente, de nuit la partie supérieure s'habite et s'illumine comme une lanterne dans la ville.

2016

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Cohabitation chromatique: une nouvelle "Siedlung" à Vufflens-la-Ville (VD)

André Gruaz

Le point de départ du projet est l'application, à la ville de Lausanne, du schéma du Trabantenprinzip mis au point par Ernst May pour la ville de Francfort dans les années 1920. Sur six sites identifiés, l'agglomération pourrait gagner environ 2100 logements et 7800 hab. à l'horizon 2025. Le projet s'intéresse au cas de Vufflens-la-Ville, petite commune de 1284 hab. située au Nord-Ouest de Lausanne, composée en majeure partie d'habitations et de fermes, où les services usuels, tels que poste, restaurant ou épicerie, n'existent plus. Le projet prévoit l'implantation d'un nouveau quartier d'habitation a part entière, inspiré par les Siedlungen construites à Francfort par Ernst May et à Berlin par Bruno Taut, pendant la période de l'entre-deux-guerres. Au total, ce sont 318 logements pour une moyenne de 1175 hab. qui sont prévus. La forme urbaine tient compte des caractéristiques du site, à savoir les deux axes majeurs et la végétation qui le structurent, ainsi que la topographie naturelle qui a amené les barres de logements en arc de cercle à la suivre avec respect. Un travail particulier a été mené concernant l'aspect chromatique des bâtiments et, par conséquent, des rues, afin de rendre ce quartier vif et accueillant. De plus, la disposition et la géométrie des ouvertures, les seuils entre intérieur et extérieur, la vision du jardin privé comme une pièce faisant partie à part entière de la maison, l'utilisation d'un système constructif simple et efficace, et la réintroduction de services quotidiens dans un lieu stratégique du site ont également été pensés et contribuent à la bonne conduite du projet.

2018

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"De Salix ædificatoria". Une architecture vivante pour un hébergement à Château d’Oex (VD)

Chloe Lucie Joly-Pottuz

A l’image de la citation d’Ishigami «Les arbres sont un type d’espace», les maisons de saules sont d’un nouveau genre, celui d’une architecture vivante à laquelle la nature n’est pas surajoutée mais dont elle constitue l’espace. Le village de Château-d’œx est un lieu de tourisme privilégié. Proposer des hébergements atypiques et respectueux de l’environnement y est une préoccupation actuelle. A l’Est, le projet s’implante sur un site préservé aux grandes qualités paysagères. Il forme un ensemble d’hébergements pour quelques nuits dont l’implantation minimaliste respecte les qualités du lieu et sa découverte progressive. Son architecture propose au voyageur une réflexion sur le rapport entre nature et art. En effet, elle n’est plus totalement inerte, mais se conçoit dans le temps avec la croissance des plantes vivantes qui en composent la structure et l’enveloppe. Cette temporalité ancre le projet dans une durabilité certaine : il est planté pour la prochaine génération. Saules et sphaignes (mousses des tourbières) vivants cohabitent pour offrir au voyageur un abri dont le confort nécessaire est assuré. L’espace généré offre finalement une vue imprenable sur le sommet de la Gummfluh. Le caractère vivant se manifeste par un aspect et une forme changeants au fil du temps. L’expression architecturale varie avec les floraisons au printemps et en été, les couleurs automnales et la perte des feuilles en hiver. L’architecture des maisons de saules est une architecture sensible.

2018

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