A flyby (ˈflaɪˌbaɪ) is a spaceflight operation in which a spacecraft passes in proximity to another body, usually a target of its space exploration mission and/or a source of a gravity assist (also called swing-by) to impel it towards another target. Spacecraft which are specifically designed for this purpose are known as flyby spacecraft, although the term has also been used in regard to asteroid flybys of Earth for example. Important parameters are the time and distance of closest approach.
Flyby maneuvers can be conducted with a planet, a natural satellite or a non-planetary object such as a small Solar System body.
Planetary flybys have occurred with Mars or Earth for example:
List of Earth flybys
Mars flyby
An example of a comet flyby is when International Cometary Explorer (formerly ISEE-3) passed about from the nucleus of Comet Giacobini-Zinner in September 1985.
Another application of the flyby is of Earth's Moon, usually called a lunar flyby. The Apollo 13 spacecraft had an exploded oxygen tank, and therefore had to flyby around the Moon. The Artemis 2 and #dearMoon project will include a lunar flyby.
In regards to Mars flybys, a related concept is a Mars flyby rendezvous, where a spacecraft does not enter orbit but rendezvous before or after a flyby of the planet with another spacecraft. Mars flyby rendezvous was evaluated at NASA's Manned Spacecraft Center in the 1960s. At that time NASA developed designs for a combination of a Mars lander, short-stay surface habitat, and ascent vehicle called a Mars Excursion Module (MEM); the ascent stage performed the rendezvous with a different spacecraft that did a flyby of Mars without entering orbit or landing. Compared to MOR, a flyby rendezvous means one spacecraft does not have to orbit Mars, so the resources needed on a return journey to Earth are not taken in and out of Mars orbit for example. (See also Mars cycler)
Mariner IV flyby of Mars in July 1965 returned more accurate atmospheric data about Mars and much closer views of its surface then previously.
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vignette|Trajectoire de Galileo (satellite) Un survol est un passage à une distance relativement modérée d'un corps céleste, sans être en contact avec ce dernier. On parle aussi bien de survol que l'engin survolant soit un engin aéronautique (avion, hélicoptère... : survol d'un pays, d'une région), un engin astronautique (sonde spatiale, véhicule spatial : survol d'une planète, d'un satellite) ou un objet naturel (astéroïde...). Sont listés ci-dessous les survols par des objets naturels significatifs ou des objets artificiels (sondes spatiales).
Ariel, également connu sous le nom d', est un satellite naturel d'Uranus. Découvert le par William Lassell, il est nommé d'après un esprit de l'air apparaissant dans le poème La Boucle de cheveux enlevée d'Alexander Pope et la pièce de théâtre La Tempête de William Shakespeare. Il n'a été survolé que par une seule sonde spatiale, Voyager 2, en 1986, et seulement 35 % de la surface de l'astre a pu être photographiée à cette occasion. Ariel est la plus brillante des lunes en orbite autour d'Uranus, ainsi que la troisième plus massive et la quatrième plus grande.
vignette|Trajectoires des sondes Voyager de la NASA. Dans le domaine des vols spatiaux, une manœuvre orbitale est définie comme étant l’utilisation d’un système de propulsion spatiale afin de modifier l’orbite d’un astronef. Par exemple il peut s’agir de l’augmentation ou la diminution de la vitesse d’une sonde interplanétaire, de l’orientation d’un satellite, ou encore de la modification de l’inclinaison de son orbite. Par opposition, lorsque le véhicule spatial considéré n’est pas soumis à une manœuvre orbitale, on dit alors qu’il est en phase de vol balistique.