La bataille des îles Santa Cruz (également appelée dans les sources japonaises) qui eut lieu entre les 25 et fut la quatrième bataille aéronavale du théâtre Pacifique de la Seconde Guerre mondiale et le quatrième engagement majeur entre la marine impériale japonaise et la marine américaine durant la bataille de Guadalcanal. Comme lors des batailles de la mer de Corail, de Midway et des Salomon orientales, les deux flottes entrèrent rarement en contact visuel et toutes les attaques furent menées par l'intermédiaire de l'aviation embarquée ou des appareils basés à terre.
Afin de chasser les forces alliées de Guadalcanal et des îles voisines et sortir de l'impasse existante depuis septembre 1942, l'armée impériale japonaise planifia une large offensive terrestre sur Guadalcanal pour le . Une importante flotte japonaise comprenant plusieurs porte-avions et grands navires de guerre fut déployée dans le sud des îles Salomon afin d'intercepter les forces navales alliées, en particulier les porte-avions américains, qui tenteraient de s'opposer à l'offensive terrestre. Dans le même temps, les Alliés espéraient également engager les forces navales japonaises pour sortir de l'impasse militaire et chasser les Japonais de la région.
L'offensive terrestre japonaise sur Guadalcanal fut repoussée lors de la bataille d'Henderson Field et au même moment, les forces des deux adversaires se rencontrèrent le matin du juste au nord des îles Santa Cruz. Après une série d'attaques aériennes, les deux flottes quittèrent la zone avec de lourdes pertes. Par le nombre de navires et d'appareils détruits ou endommagés, les Japonais avaient remporté une victoire tactique, mais leurs forces perdues furent bien plus difficiles à reconstituer. La bataille est donc considérée comme une victoire à la Pyrrhus japonaise et les porte-avions japonais ne jouèrent pas d'autre rôle significatif dans la campagne de Guadalcanal qui fut finalement remportée par les Alliés.
Bataille de Guadalcanal
Le , les forces alliées, principalement américaines, débarquèrent à Guadalcanal, Tulagi et sur les îles Florida dans les îles Salomon.
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La bataille du cap Espérance, également appelée dans les sources japonaises, qui eut lieu les 11 et , fut le troisième engagement naval entre la Marine impériale japonaise et la marine américaine durant la bataille de Guadalcanal dans le théâtre Pacifique de la Seconde Guerre mondiale. Dans la nuit du 11 octobre, les forces navales japonaises de la zone des îles Salomon, sous le commandement de Gunichi Mikawa, organisèrent un important convoi de ravitaillement pour les troupes combattant à Guadalcanal.
La bataille des Salomon orientales (également connue sous les noms de bataille des îles Stewart et de dans les sources japonaises), qui eut lieu les 24 et , fut la troisième bataille aéronavale du théâtre Pacifique de la Seconde Guerre mondiale et le second engagement majeur entre la marine impériale japonaise et la marine américaine durant la bataille de Guadalcanal. Comme lors des batailles de la mer de Corail et de Midway, les deux flottes n'entrèrent jamais en contact visuel et toutes les attaques furent menées par l'intermédiaire de l'aviation embarquée ou des appareils basés à terre.
La bataille navale de Guadalcanal, qui eut lieu entre le 12 et le , fut l'engagement naval décisif entre la marine impériale japonaise et la marine américaine durant la bataille de Guadalcanal dans le théâtre Pacifique de la Seconde Guerre mondiale. Elle est également appelée troisième et quatrième batailles de l'île de Savo, bataille des Salomon, bataille du vendredi 13 et dans les sources japonaises. Les forces alliées, essentiellement américaines, avaient débarqué sur Guadalcanal le et s'étaient emparées d'une base aérienne en cours de construction par les Japonais, par la suite appelée Henderson Field.