Pallache family

"Pallache" – also de Palacio(s), Palache, Palaçi, Palachi, Palacci, Palaggi, al-Fallashi, and many other variations (documented below) – is the surname of a prominent, Ladino-speaking, Sephardic Jewish family from the Iberian Peninsula, who spread mostly through the Mediterranean after the Alhambra Decree of March 31, 1492, and related events. The Pallache family have had connections with Moroccans, Spanish, Netherlands and Portuguese Sephardic Jewish communities, as detailed below. The Pallaches established themselves in cities in Morocco, the Netherlands, Turkey, Egypt, and other countries from the 1500s through the 1900s. The family includes chief rabbis, rabbis, founders of synagogues and batei midrash, scientists, entrepreneurs, writers, and others. Best known to date are: Moroccan envoys and brothers Samuel Pallache (ca. 1550–1616) and Joseph Pallache, at least three grand rabbis of Izmir – Gaon. Haim Palachi (1788–1868), his sons Abraham Palacci (1809–1899) and Rahamim Nissim Palacci (1814–1907), grand rabbi of Amsterdam Isaac Juda Palache (1858–1927), American mineralogist Charles Palache (1869–1954), and Dutch linguist Juda Lion Palache (1886–1944). According to historians Mercedes García-Arenal and Gerard Wiegers, "Les Pallache étaient une famille de juifs d'origine hispanique installés à Fès depuis l'expulsion des juifs d'Espagne en 1492." ("The Pallaches were a family of Hispanic Jews who settled in Fez after the Jews were expelled from Spain in 1492.") In 1480, Queen Isabella I of Castile and King Ferdinand II of Aragon established a Tribunal of the Holy Office of the Inquisition (Tribunal del Santo Oficio de la Inquisición), commonly known as the Spanish Inquisition (Inquisición española). Its dual purpose was to maintain Catholic orthodoxy in Spain while replacing the Medieval Inquisition under papal control. On March 31, 1492, Isabella and Ferdinand issued the Alhambra Decree (or "Edict of Expulsion"), thereby ordering the expulsion of practicing Jews from the Kingdoms of Castile and Aragon, its territories, and it possessions by July 31 that year–in four months.

Pont de Chippis – Examen et projet d’intervention

Dans le cadre du projet de la 3ème correction du Rhône, l’adaptation du Pont de Chippis est nécessaire, étant donné qu’un élargissement du lit de la rivière est envisagé. Ce travail de Master consiste en premier lieu à un examen de la structure existante afin d’évaluer sa capacité portante et son aptitude au service en vue d’une longue exploitation future. La deuxième partie est consacrée à la conception d’un nouveau pont à la suite de l’ouvrage existant pour couvrir l’élargissement du Rhône.

2021

Réinterprétation de l’autoconstruction de logements à Weil-am-Rhein

Les petites maisons de la « Siedlung 14 Linden », construites dans les années trente à Weil-am-Rhein, possèdent une valeur historique et culturelle indéniable. Les habitants les ont bâties eux-mêmes à l’époque, sous le contrôle de l’État. Aujourd’hui, l’achat par la ville de l’une de ces maisons et la restitution de certaines de ses caractéristiques permettraient de garder un témoignage de cette initiative d’autoconstruction oubliée, mais aussi de l’intégrer au développement futur de l’important site au sud de la « Siedlung ». Ce dernier, cerné par la forêt, présente de nombreuses qualités. Il tend toutefois à être sous-évalué en raison de l’humidité de son sol, ainsi que de sa proximité avec la prison de Bâle et les voies ferrées. Le projet vise à réinterpréter la question de l’autoconstruction par l’expérimentation d’un mode alternatif de construction économique sur ce site, en continuité avec la « Siedlung » existante. Le chantier est facilité par la préfabrication des éléments de construction, nécessitant des moyens de levage et d’assemblage restreints. L’unité structurelle de base, conçue pour être répétée dans différentes configurations, offre une adaptabilité des logements aux évolutions sociales et aux modes de vie qui en découlent. Les types ainsi générés viennent s’implanter suivant l’hydrographie du sol et leur rationalité est contrebalancée par l’omniprésence d’espaces naturels productifs et d’éléments de médiation entre artefact et nature.

2021

Le Val-d’Arno sous les yeux. Disegno et pratiques d’observation dans les appunti de terrain de l'ingénieur Vincenzio Viviani (1622-1703)

Simon François Dumas Primbault

Au vu du travail accompli qui transparaît de sa foisonnante archive de papiers personnels, Vincenzio Viviani, ultimo discepolo de Galilée, n’est pas d’abord mathématicien, il est avant tout ingénieur. S’étant lui-même présenté comme premier mathématicien et dernier disciple, l’historiographie l’a retenu comme l’auteur d’ouvrages de géométrie euclidienne en lien avec les nuove scienze galiléennes. Viviani a pourtant passé la majeure partie de son existence au service puis en charge du corps toscan des Capitani di Parte. Responsables des biens domaniaux, des poids et mesures ou des impôts, les ingegneri de ce corps sont des acteurs majeurs de la « guerre des eaux » qui oppose alors les États pontificaux et la Toscane au sujet de l’assainissement du Val-d’Arno. En suivant le fil de ses notes de terrain rédigées et dessinées au cours de ses nombreuses expéditions en campagne à dos de cheval, je tenterai de mettre en lumière un des milieux de savoir de Viviani : le Val d’Arno, ainsi que les pratiques au cœur de son expertise : observation, dessin, modélisation.

2021

Pont de Chippis – Examen et projet d’intervention

Réinterprétation de l’autoconstruction de logements à Weil-am-Rhein

Le Val-d’Arno sous les yeux. Disegno et pratiques d’observation dans les appunti de terrain de l'ingénieur Vincenzio Viviani (1622-1703)

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Pont de Chippis – Examen et projet d’intervention

Réinterprétation de l’autoconstruction de logements à Weil-am-Rhein

Le Val-d’Arno sous les yeux. Disegno et pratiques d’observation dans les appunti de terrain de l'ingénieur Vincenzio Viviani (1622-1703)