The Rodrigues night heron (Nycticorax megacephalus) is an extinct species of heron that was endemic to the Mascarene island of Rodrigues in the Indian Ocean. The species was first mentioned as "bitterns" in two accounts from 1691–1693 and 1725–1726, and these were correlated with subfossil remains found and described in the latter part of the 19th century. The bones showed that the bird was a heron, first named Ardea megacephala in 1873, but moved to the night heron genus Nycticorax in 1879 after more remains were described. The specific name megacephala is Greek for "great-headed". Two related extinct species from the other Mascarene islands have also been identified from accounts and remains: the Mauritius night heron and the Réunion night heron.
The Rodrigues night heron was robust, its bill was comparatively large, stout and straight, and its legs were short and strong. It is estimated to have been long, and its appearance in life is uncertain. There was marked sexual dimorphism, males being larger. Little is known about its behaviour, but the contemporary accounts indicate that it ate lizards (probably the Rodrigues day gecko), was adapted to running, and although able to fly, rarely did so. Examinations of the known remains have confirmed its terrestrial adaptations; one researcher thought the species flightless but this idea has not been accepted by others. The species could not be found by 1763, and it is thought to have been driven to extinction by human-related factors such as the introduction of cats.
The French traveler Francois Leguat mentioned "bitterns" in his 1708 memoir A New Voyage to the East Indies about his stay on the Mascarene island of Rodrigues from 1691–93. Leguat was the leader of a group of nine French Huguenot refugees who settled on Rodrigues after they were marooned there. Leguat's observations on the local fauna are considered some of the first cohesive accounts of animal behaviour in the wild. In 1873, the French zoologist Alphonse Milne-Edwards described subfossil bird bones from Rodrigues he had received via the British ornithologist Alfred Newton.
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Erythromachus leguati, ou râle de Rodrigues, est une espèce éteinte d'oiseaux de la famille des Rallidae, quelquefois rattachée aussi au genre Aphanapteryx. Cette espèce était endémique de l'île Rodrigues. Son existence est attestée par un certain nombre d'os et de spécimens et par plusieurs récits de voyageurs, notamment celui de François Leguat ayant séjourné dans l'ile de 1691 à 1693. Le dernier en date étant celui de Julien Tafforet daté de 1726. Incapable de voler, elle a disparu parce qu'elle était trop chassée, sa viande étant excellente.
Necropsittacus rodricanus est une espèce de perroquets autrefois endémique de l'île Rodrigues et aujourd'hui disparue. Son existence est attestée par plusieurs récits de voyageurs et quelques découvertes d'os plus récentes. Alexandre Guy Pingré est le dernier à l'avoir décrit en 1763 en se basant sur des observations faites en 1761. L'oiseau a probablement disparu peu après. On soupçonne le perroquet rouge et vert disparu à La Réunion de ne former qu'une seule espèce avec le perroquet de Rodrigues.
La Perruche de Newton (Psittacula exsul) est une espèce d'oiseaux de la famille des Psittacidae, jadis endémique des forêts de l'île Rodrigues et aujourd'hui éteinte. Elle a été observée pour la première fois par François Leguat, qui était à la tête d'un groupe de huit Huguenots qui ont colonisé l'île de 1691 à 1693. Selon ses descriptions, cet oiseau se trouvait alors en grand nombre. La mention suivante de cette espèce est le fait du mathématicien Alexandre Guy Pingré, qui a voyagé à Rodrigues en 1761 pour observer le transit de Vénus.