Laser lithotripsy is a surgical procedure to remove stones from urinary tract, i.e., kidney, ureter, bladder, or urethra.
Laser lithotripsy was invented at the Wellman Center for Photo medicine at Massachusetts General Hospital in the 1980s to remove impacted urinary stones. Optical fibers carry light pulses that pulverize the stone. Candela licensed the technology and released the first commercial laser lithotripsy system. Initially 504 nm dye lasers were used, then holmium lasers were studied in the 1990s.
A urologist inserts a scope into the urinary tract to locate the stone. The scope may be a cystoscope, ureteroscope, renoscope or nephroscope. An optical fiber is inserted through the working channel of the scope, and laser light is directly emitted to the stone. The stone is fragmented and the remaining pieces are collected in a "basket" and/or washed out of the urinary tract, along with the finer particulate "dust."
The procedure is done under either local or general anesthesia and is considered a minimally-invasive procedure. It is widely available in most hospitals in the world.
Laser lithotripsy (LL) has been evaluated against Extracorporeal Shock Wave lithotripsy (ESWL), finding both to be safe and effective. ESWL may be safer for small stones ( 2 cm) with good stone-free and complication rates.
Holmium laser lithotripsy had superior initial success and re-treatment rate compared to extracorporeal shock wave lithotripsy (ESWL) in a 2013 trial.
The experimental thulium fiber laser (TFL) is being studied as a potential alternative to the holmium:YAG (Ho:YAG) laser for the treatment of kidney stones. The TFL has several potential advantages compared to Ho:YAG laser for lithotripsy, including a four times lower ablation threshold, a near single-mode beam profile, and higher pulse rates, resulting in up to four times as fast ablation rates and faster procedural times.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
La lithiase urinaire (du grec lithos, pierre) est une maladie caractérisée par la formation de calculs (du latin calculus, caillou), c’est-à-dire des accrétions cristallines qui se forment, à partir de minéraux dissous dans l'urine, dans les voies urinaires : cavités rénales (calices et bassinet), uretères et vessie. La taille des calculs varie d'un grain de sable à celle d'une balle de golf. Les plus gros, dits « coralliformes », moulent l'intérieur du rein, ayant ainsi l'aspect de branches de corail.
En anatomie humaine, les uretères (le nom est masculin) sont les deux conduits qui transportent l'urine des bassinets vers la vessie. Les uretères sont des tubes musculaires qui poussent l'urine par des mouvements péristaltiques. Chez l'adulte, ils mesurent habituellement 25 à de long. L'uretère comprend plusieurs parties. À la sortie du rein, une première partie dilatée : l'infundibulum d'un diamètre de . Ensuite un premier rétrécissement : le collet (isthme) ; puis l'uretère s'élargit à nouveau et forme le fuseau lombaire (jusqu'à de diamètre).
Explore les ondes de choc dans les traitements médicaux, y compris la lithotripsie pour les calculs rénaux et les performances de calcul intensif record dans la dynamique des fluides computationnelle.