Asparagine (symbol Asn or N) is an α-amino acid that is used in the biosynthesis of proteins. It contains an α-amino group (which is in the protonated −NH form under biological conditions), an α-carboxylic acid group (which is in the deprotonated −COO− form under biological conditions), and a side chain carboxamide, classifying it as a polar (at physiological pH), aliphatic amino acid. It is non-essential in humans, meaning the body can synthesize it. It is encoded by the codons AAU and AAC.
Asparagine was first isolated in 1806 in a crystalline form by French chemists Louis Nicolas Vauquelin and Pierre Jean Robiquet (then a young assistant). It was isolated from asparagus juice, in which it is abundant, hence the chosen name. It was the first amino acid to be isolated.
Three years later, in 1809, Pierre Jean Robiquet identified a substance from liquorice root with properties which he qualified as very similar to those of asparagine, and which Plisson identified in 1828 as asparagine itself.
The determination of asparagine's structure required decades of research. The empirical formula for asparagine was first determined in 1833 by the French chemists Antoine François Boutron Charlard and Théophile-Jules Pelouze; in the same year, the German chemist Justus Liebig provided a more accurate formula. In 1846 the Italian chemist Raffaele Piria treated asparagine with nitrous acid, which removed the molecule's amine (–NH2) groups and transformed asparagine into malic acid. This revealed the molecule's fundamental structure: a chain of four carbon atoms. Piria thought that asparagine was a diamide of malic acid; however, in 1862 the German chemist Hermann Kolbe showed that this surmise was wrong; instead, Kolbe concluded that asparagine was an amide of an amine of succinic acid. In 1886, the Italian chemist Arnaldo Piutti (1857–1928) discovered a mirror image or "enantiomer" of the natural form of asparagine, which shared many of asparagine's properties, but which also differed from it.
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vignette|Structure de la , parfois considérée comme un aminé protéinogène bien qu'elle ait une chaîne latérale identique à celle de la méthionine. Elle amorce la biosynthèse des protéines chez les procaryotes et dans les mitochondries et les chloroplastes des eucaryotes, mais pas dans le cytosol de ces derniers. Elle dérive de la méthionine par adjonction d'un groupe aldéhyde sur l'atome d'azote de l'amine primaire Un acide aminé protéinogène est un acide aminé incorporé dans les protéines lors de la traduction de l'ARN messager par les ribosomes.
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