L'épargne est la partie du revenu qui — pendant une période donnée — n'est pas dépensée. Cette somme d'argent n'est pas détruite immédiatement par une dépense de consommation et peut être conservée sous forme liquide (constitution d'encaisses ou de réserves motivées par une recherche de précaution ou l'échéance d'une dépense importante à venir), ou être réinvestie dans le circuit économique sous la forme d'un placement ou d'un investissement.
Tous les agents économiques peuvent ou doivent épargner. C'est le fait des ménages, mais aussi des entreprises (autofinancement), de l'économie nationale (qui doit pour ce faire se ménager une balance des paiements courants excédentaire) ainsi que de l'État (problématique de l'excédent budgétaire).
La notion d'épargne cache des discordes théoriques relatives aux déterminants de l'épargne, aux conséquences de l'épargne sur l'économie globale et même aux différentes façons de mesurer l'épargne.
L'argent épargné est placé sous forme :
d'épargne dite « liquide », qui reste disponible sous forme liquide et immédiatement accessible. Historiquement en espèces (pièces, billets, or...), appelé familièrement un « bas de laine » , l'épargne liquide est de nos jours déposée en banque sur des comptes d'épargne sur lesquels l'argent peut être déposé et retiré à tout moment (comme en France le livret A et le livret jeune notamment). Cette forme d'épargne est également appelée épargne thésaurisée. On parle alors d'encaisses de précaution, ou de thésaurisation. Il faut noter que ce type d'épargne est inexistant dans le modèle du circuit économique qui schématise l'économie nationale en macro-économie car non placée ;
d'épargne investie, affectée à des plans d'épargne, contrats d'assurance-vie, valeurs mobilières (appelée épargne placée), REER, CELI, plans d'épargne en actions ou investissements (dans des moyens de production, l'immobilier...).
L'argent épargné dans une banque ou investi est généralement assorti d'un intérêt, c'est-à-dire un gain d'une certaine somme allouée à l'épargne qui varie selon le type de placement effectué, la fiscalité et le niveau de risque du placement.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
This course examines growth from various angles: economic growth, growth in the use of resources, need for growth, limits to growth, sustainable growth, and, if time permits, population growth and gro
This course provides students with a working knowledge of macroeconomic models that explicitly incorporate financial markets. The goal is to develop a broad and analytical framework for analyzing the
This course gives the framework and tools for understanding economic events, taking financial decisions and evaluating investment opportunities in a global economy. It builds up an integrated model of
La Grande Dépression () ou « crise économique des années 1930 », dite encore « crise de 29 », est une longue phase de crise économique et de récession qui frappe l'économie mondiale à partir du krach boursier américain de 1929 jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. Précédée par la puissante expansion des années 1920, c'est la plus importante dépression économique du . Elle a été accompagnée d'une forte déflation et d'une explosion du chômage et a poussé les autorités à une profonde réforme des marchés financiers.
Le capital est une somme d'investissements utilisée pour en tirer un profit, c'est-à-dire un stock de biens ou de richesses nécessaires à une production. Cet emploi, courant en sciences économiques, en finance, en comptabilité, en sociologie et en philosophie, a néanmoins dans les domaines distincts des significations spécifiques. Au , « capital » est un adjectif dérivé de la racine latine caput : la tête, signifiant « principal ». Dans le dictionnaire de Nicot publié en 1606, l'adjectif est transformé en substantif pour désigner « le capital d'un marchand ».
Pour la macroéconomie, la demande agrégée (notée ) représente la demande totale de biens et services dans une économie (notée ) pour un temps et un niveau de prix donnés. C'est la quantité de biens et services dans l'économie qui sera achetée à tous les niveaux de prix. Il s'agit donc de la demande pour le produit intérieur brut (PIB) d'un pays lorsque les niveaux d'inventaires sont statiques. Elle est souvent appelée demande effective, quoique ce terme soit parfois considéré comme différent.
With nominal wage rigidities, it is crucial to distinguish whether wages are set by workers or firms — whether we have monopoly or monopsony power. This paper provides a model of monopsony power in the labour market and a monopsonistic Phillips Curve. If w ...
We argue that the time-varying regional distribution of housing equity influences the aggregate consequences of monetary policy through its effects on mortgage refinancing. Using detailed loan-level data, we show that regional differences in housing equity ...
Atmospheric new particle formation (NPF) is an important source of climate-relevant aerosol particles which has been observed at many locations globally. To study this phenomenon, the first step is to identify whether an NPF event occurs or not on a given ...