Monotonicity of entailment is a property of many logical systems such that if a sentence follows deductively from a given set of sentences then it also follows deductively from any superset of those sentences. A corollary is that if a given argument is deductively valid, it cannot become invalid by the addition of extra premises.
Logical systems with this property are called monotonic logics in order to differentiate them from non-monotonic logics. Classical logic and intuitionistic logic are examples of monotonic logics.
Monotonicity may be stated formally as a rule called weakening, or sometimes thinning. A system is monotonic if and only if the rule is admissible.
The weakening rule may be expressed as a natural deduction sequent:
This can be read as saying that if, on the basis of a set of assumptions , one can prove C, then by adding an assumption A, one can still prove C.
The following argument is valid: "All men are mortal. Socrates is a man. Therefore Socrates is mortal." This can be weakened by adding a premise: "All men are mortal. Socrates is a man. Cows produce milk. Therefore Socrates is mortal." By the property of monotonicity, the argument remains valid with the additional premise, even though the premise is irrelevant to the conclusion.
Non-monotonic logic
In most logics, weakening is either an inference rule or a metatheorem if the logic doesn't have an explicit rule. Notable exceptions are:
Relevance logic, where every premise is necessary for the conclusion.
Linear logic, which lacks monotonicity and idempotency of entailment.
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Idempotency of entailment is a property of logical systems that states that one may derive the same consequences from many instances of a hypothesis as from just one. This property can be captured by a structural rule called contraction, and in such systems one may say that entailment is idempotent if and only if contraction is an admissible rule. Rule of contraction: from A,C,C → B is derived A,C → B. Or in sequent calculus notation, In linear and affine logic, entailment is not idempotent.
vignette|Arbre de résolution linéaire En logique mathématique et plus précisément en théorie de la démonstration, la logique linéaire est un système formel inventé par le logicien Jean-Yves Girard en 1987. Du point de vue logique, la logique linéaire décompose et analyse les logiques classique et intuitionniste. Du point de vue calculatoire, elle est un système de type pour le lambda-calcul permettant de spécifier certains usages des ressources. La logique classique n'étudie pas les aspects les plus élémentaires du raisonnement.
En logique mathématique, la déduction naturelle est un système formel où les règles de déduction des démonstrations sont proches des façons naturelles de raisonner. C'est une étape importante de l'histoire de la théorie de la démonstration pour plusieurs raisons : contrairement aux systèmes à la Hilbert fondés sur des listes d'axiomes logiques plus ou moins ad hoc, la déduction naturelle repose sur un principe systématique de symétrie : pour chaque connecteur, on donne une paire de règles duales (introduction/élimination) ; elle a conduit Gentzen à inventer un autre formalisme très important en théorie de la démonstration, encore plus « symétrique » : le calcul des séquents ; elle a permis dans les années 1960 d'identifier la première instance de l'isomorphisme de Curry-Howard.