The bomba, or bomba kryptologiczna (Polish for "bomb" or "cryptologic bomb"), was a special-purpose machine designed around October 1938 by Polish Cipher Bureau cryptologist Marian Rejewski to break German Enigma-machine ciphers.
How the machine came to be called a "bomb" has been an object of fascination and speculation. One theory, most likely apocryphal, originated with Polish engineer and army officer Tadeusz Lisicki (who knew Rejewski and his colleague Henryk Zygalski in wartime Britain but was never associated with the Cipher Bureau). He claimed that Jerzy Różycki (the youngest of the three Enigma cryptologists, and who had died in a Mediterranean passenger-ship sinking in January 1942) named the "bomb" after an ice-cream dessert of that name. This story seems implausible, since Lisicki had not known Różycki. Rejewski himself stated that the device had been dubbed a "bomb" "for lack of a better idea". Perhaps the most credible explanation is given by a Cipher Bureau technician, Czesław Betlewski: workers at B.S.-4, the Cipher Bureau's German section, christened the machine a "bomb" (also, alternatively, a "washing machine" or a "mangle") because of the characteristic muffled noise that it produced when operating.
A top-secret U.S. Army report dated 15 June 1945 stated:
A machine called the "bombe" is used to expedite the solution. The first machine was built by the Poles and was a hand operated multiple enigma machine. When a possible solution was reached a part would fall off the machine onto the floor with a loud noise. Hence the name "bombe".
The U.S. Army's above description of the Polish bomba is both vague and inaccurate, as is clear from the device's description at the end of the second paragraph of the "History" section, below: "Each bomb... essentially constituted an electrically powered aggregate of six Enigmas..." Determination of a solution involved no disassembly ("a part... fall[ing] off") of the device.
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vignette|upright=1.5|Cyclomètre inventé au milieu des années 1930 par Rejewski pour cataloguer la structure des permutations circulaires d'Enigma. 1. En haut à la gauche, le couvercle des rotors est fermé 2. En haut à la droite, le couvercle des rotors est ouvert 3. En bas à la gauche, le rhéostat 4. En bas à la droite, des lampes sont allumées, d'autres éteintes 5. En bas à la droite, des interrupteurs rotatifs 6. En bas à la droite, les lettres.
La méthode des feuilles de Zygalski est une technique cryptologique utilisée par le Biuro Szyfrów polonais, avant et pendant la Seconde Guerre mondiale, puis par les cryptologues britanniques de Bletchley Park, afin de décrypter les messages chiffrés au moyen du système allemand d'Enigma. Les feuilles de Zygalski ont pris le nom de leur inventeur d', Henryk Zygalski. L'appareil de Zygalski comprend un jeu de 26 feuilles perforées pour chacune des six séquences initiales possibles d'insertion des trois rotors dans le brouilleur de la machine Enigma.
Dans l'histoire de la cryptologie, la Bombe fut un instrument électromécanique utilisé par les cryptologues britanniques afin de casser les codes allemands d'Enigma pendant la Seconde Guerre mondiale. L'U.S. Navy et l'U.S. Army réaliseront plus tard leurs propres machines, avec les mêmes spécifications fonctionnelles, mais conçues de manière différente. La Bombe tire son nom de la « Bombe cryptologique » (en polonais : ), instrument conçu en par le cryptologue polonais Marian Rejewski travaillant au Biuro Szyfrów.