The Punjabi Suba movement was a long-drawn political agitation, launched by Punjabi speaking people (mostly Sikhs) demanding the creation of autonomous Punjabi Suba, or Punjabi-speaking state, in the post-independence Indian state of East Punjab. The movement is defined as the forerunner of Khalistan movement.
Borrowing from the pre-partition demands for a Sikh country, this movement demanded a fundamental constitutional autonomous state within India. Led by the Akali Dal, it resulted in the formation of the state of Punjab. The state of Haryana and the Union Territory of Chandigarh were also created and some Pahari-majority parts of the East Punjab were also merged with Himachal Pradesh following the movement. The result of the movement failed to satisfy its leaders due to regions in Northern Haryana with Punjabi speaking and Sikh populations like Jind, Karnal, Ambala, Fatehabad and Sirsa being left out of Punjab. Many Sikh leaders saw this as falling short of the promise of a fully autonomous Sikh State that they felt was promised to them by Nehru and Gandhi in exchange for joining the Indian Union.
The reformist Sikh movements of the twentieth century had achieved, in large part, significant demarcation from the Hindus, asserting themselves as a distinct religious and political entity. Seeking a prolongment of these efforts, lest the religious apathy of the Sikhs would facilitate reversion to Hinduism, on the basis of shared religious postulates and cultural kinship, the Punjabi Suba movement became an intransigent aim among sections of the Sikh populace. The movement was primarily conceived to secure a distinct Sikh political status as a safeguard for what was to be a small minority after independence; as Sikh leader Master Tara Singh wrote in 1945, "there is not the least doubt that the Sikh religion will live only as long as the Sikh panth exists as an organized entity." Calls for the Punjabi Suba were present as far back as February 1947.
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Le Pendjab (en pendjabi (gurmukhi) : ਪੰਜਾਬ, Pañjāb, ; en पंजाब ; Punjab) est un État du nord-ouest de l'Inde. Le Pendjab est bordé à l'est par le Himachal Pradesh, au sud par le Haryana, le territoire de Chandigarh, au sud-ouest par le Rajasthan et à l'ouest par la province pakistanaise du Pendjab. La capitale de l'État est Chandigarh, un territoire et également la capitale du Haryana. Lors de la partition des Indes en 1947, la province du Pendjab du Raj britannique a été divisée entre l'Inde et le Pakistan.
Les Jats (hindi : जाट, pendjabi : ਜੱਟ ou جٹ), également appelés Jatts, Jaats ou Jutts, sont des populations d'agriculteurs installés dans le Nord-Ouest de l'Inde et au Pakistan, plus particulièrement au Pendjab (indien et pakistanais) et au Rajasthan. Leur origine est incertaine : Scythes, Gètes ou Massagètes, Huns, Tziganes ou encore Rajputs. Pendant la période de la conquête musulmane de l'Inde, ils sont organisés en républiques dont ils élisent le chef et rejettent le système des castes, qu'ils soient hindous, musulmans ou sikhs.
est une ville situé dans l’État du Pendjab en Inde. Elle est le chef-lieu du district de Bathinda. La ville abrite le Qila Mubârak, un palais dont les briques remontent à l'Empire kouchan ( — ), le premier pays bouddhiste. Le Takht Sri Damdama Sahib est un lieu sacré du sikhisme. Le est un important temple hindouiste consacré au divinités Dourga et Jwala Ji, situé à 28 km du centre-ville. En 2011, sa population était de . La ville comporte l'importante , classé de catégorie A en Inde.