Le , l'empereur de Russie Alexandre II est assassiné par la Narodnaïa Volia. Le geste est salué par la presse anarchiste, notamment dans Le Révolté et La Révolution sociale.
Attentat de l’école n° 20 de Gîsca
Le , Vladimir Georguievitch Tatarnikov, un enseignant âgé de 29 ans fait exploser une bombe artisanale dans l'école ou il travaille, 24 personnes au total seront tuées. Les autorité soviétique de Gîsca ont déduit que la seule cible de Tatarnikov était une enseignante dont l'homme était tombé amoureux.
Ramón Mercader, un des exécuteurs travaillant pour le NKVD, a assassiné Léon Trotski au Mexique et aurait auparavant tué une vingtaine de ses partisans.
Le , un déserteur de l’armée soviétique effectue pour raisons personnelles une tentative d'assassinat de Léonid Brejnev.
vignette|Nombre de victimes annuels du terrorisme en Russie de 1993 à 2010. En bleu : le total des victimes cumulées depuis 1993. En rouge : victimes par an. Les terroristes, militaires et policiers sont inclus dans le nombre de victimes.
Un rapport d'un centre de l'OTAN sur le terrorisme relève en 2011, selon les sources publiques, un total de 330 actes terroristes ( mondial) faisant 247 tués, 535 blessés et 3 personnes enlevées.
Les autorités russes affirment disposer de preuves de liens des groupes djihadistes tchétchènes (surtout de ceux de l'émir Al-Khattab ou de Chamil Bassaïev) avec des réseaux terroristes étrangers, notamment Al-Qaïda. Le juge Jean-Louis Bruguière, patron du pôle antiterroriste français, confirme également l'existence de ces liens. En même temps, le Rapport d'information de la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française sur la coopération internationale pour lutter contre le terrorisme affirme, entre autres, qu'.
L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe affirme en que dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, devenue une importante priorité internationale, on constate une concordance de vues entre les États-Unis d’une part, et la Russie et la Géorgie d’autre part, sur la lutte contre les combattants tchétchènes et leurs alliés mercenaires, dits « les arabes du Pankissi », cachés de l'autre côté de la frontière russe et soupçonnés d’être liés au réseau Al-Qaida.