Le 'déclin de l'Empire romain d'Occident, ou la chute de l'Empire romain', se rapporte aux causes profondes et aux événements qui aboutirent à l'effondrement de l'Empire romain d'Occident. Le , date de l'abdication de Romulus Augustule, dernier empereur de l'Empire romain d'Occident, est en général retenu comme marquant la fin de cette période.
Cette thématique a connu une large diffusion à la fin du avec la parution du fameux ouvrage d'Edward Gibbon : Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain. Cependant, Gibbon n'a été ni le premier ni le dernier à étudier les raisons qui ont conduit à la disparition de l'Empire romain, Montesquieu lui ayant consacré par exemple dès 1734 un ouvrage, Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, où il dénombrait 19 facteurs de sa décadence. Ce thème est resté présent depuis lors dans l'inconscient collectif et le discours politique et a donné lieu à une recherche historique qui est toujours active : en 1984, par exemple, le professeur allemand Alexander Demandt a recensé plus de 210 théories sur les causes de la chute de l'Empire romain.
Les raisons du déclin de l'Empire romain font donc l'objet d'un certain nombre de théories controversées, la plupart des historiens remettant même aujourd'hui en question la notion de « chute », de « déclin », ou la date de 476, qui a d'ailleurs bien moins marqué les contemporains que celle du sac de Rome par Alaric en 410. Le caractère succinct des témoignages sur cette époque troublée explique en partie le grand nombre de théories développées, qui découle aussi de la variété des points de vue adoptés par les auteurs qui en ont traité.
Les principales théories sont regroupées ci-dessous en fonction du sens que leur auteur donne aux termes de déclin ou de fin de l'Empire romain.
Généralement, ces théories soutiennent que l'Empire romain aurait survécu indéfiniment si une combinaison de circonstances ne l'avait pas conduit à sa chute prématurée.
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L'Occident ou la civilisation occidentale est une aire culturelle dont les définitions recouvrent généralement la majorité de l'Europe, l'Amérique septentrionale et l'Australasie dans sa définition la plus restrictive. Sa société contemporaine résulte de la civilisation gréco-romaine (philosophie, science et droit) et de la religion chrétienne (branches catholiques et protestantes). Son emploi actuel sous-entend également une distanciation avec soit le reste du monde, soit une ou plusieurs autres zones d'influences du monde comme le monde arabe, le monde chinois ou la sphère d'influence russe.
La période de l’Égypte romaine et byzantine (Aegyptus; en grec koinè ) s’étend de l’annexion par Rome de l’ancien royaume lagide en 30 av. J.-C. jusqu’à sa conquête par les Arabes en 641. La province romaine comprenait alors la plus grande partie de l’Égypte moderne moins le Sinaï et était voisine des provinces de Crète et Cyrénaïque à l’ouest, de la Judée et de l’Arabie pétrée à l’est. L’Égypte était de loin la plus riche des provinces romaines hors de l’Italie, avait une économie monétaire très développée et une population que l’on estime entre quatre et huit millions d’habitants.
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