Laminopathies (lamino- + -opathy) are a group of rare genetic disorders caused by mutations in genes encoding proteins of the nuclear lamina. They are included in the more generic term nuclear envelopathies that was coined in 2000 for diseases associated with defects of the nuclear envelope. Since the first reports of laminopathies in the late 1990s, increased research efforts have started to uncover the vital role of nuclear envelope proteins in cell and tissue integrity in animals.
Laminopathies and other nuclear envelopathies have a large variety of clinical symptoms including skeletal and/or cardiac muscular dystrophy, lipodystrophy and diabetes, dysplasia, dermo- or neuropathy, leukodystrophy, and progeria (premature aging). Most of these symptoms develop after birth, typically during childhood or adolescence. Some laminopathies however may lead to an early death, and mutations of lamin B1 (LMNB1 gene) may be lethal before or at birth.
Patients with classical laminopathy have mutations in the gene coding for lamin A/C (LMNA gene).
Mutations in the gene coding for lamin B2 (LMNB2 gene) have been linked to Barraquer-Simons syndrome and duplication in the gene coding for lamin B1 (LMNB1 gene) cause autosomal dominant leukodystrophy.
Mutations implicated in other nuclear envelopathies were found in genes coding for lamin-binding proteins such as lamin B receptor (LBR gene), emerin (EMD gene) and LEM domain-containing protein 3 (LEMD3 gene) and prelamin A-processing enzymes such as the zinc metalloproteinase STE24 (ZMPSTE24 gene).
Mutations causing laminopathies include recessive as well as dominant alleles with rare de novo mutations creating dominant alleles that do not allow their carriers to reproduce before death.
The nuclear envelopathy with the highest frequency in human populations is Emery–Dreifuss muscular dystrophy caused by an X-linked mutation in the EMD gene coding for emerin and affecting an estimated 1 in 100,000 people.
Lamins are intermediate filament proteins that form the nuclear lamina scaffold underneath the nuclear envelope in animal cells.
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Couvre la structure et la mécanique des cellules de mammifères, l'adhésion, la mécanosensation, la mécanotransduction, la signalisation Rho, la dynamique des actine, les organisations d'actine spécialisées, les intégrines et la mécanotransduction nucléaire.
Comparer les structures cellulaires eucaryotiques et procaryotiques, en mettant l'accent sur les caractéristiques génétiques et les caractéristiques uniques.
thumb|350px L'enveloppe nucléaire, ou membrane nucléaire, est une double membrane biologique délimitant les contours du noyau qui contient l'ADN de la cellule eucaryote. Elle est pourvue de nombreux pores permettant le contrôle des échanges entre le cytoplasme et le nucléoplasme, en particulier les ARN messagers. Cette membrane est constituée par une double bicouche phospholipidique Une bicouche externe en continuité avec les membranes du réticulum endoplasmique. Elle est considérée comme une forme différenciée de ce dernier.
La lamine est une protéine fibreuse qui forme la lamina nucléaire. Les lamines A(70kDa), B(67kDa) et C(60kDa) forment cette lamina dans toutes les cellules eucaryotes (sauf les globules rouges) : ce sont des filaments intermédiaires nucléoplasmiques de type V qui participent à la structure du noyau et aux liaisons chromatine/membrane nucléaire. Elles interviennent également dans les processus de mitose (phosphorylation des lamines sur les résidus sérine par le MPF ce qui les rend solubles.
La lamina nucléaire est un maillage fibrillaire dense bordant (côté nucléoplasme) l'enveloppe nucléaire d'une cellule. Il s'agit d'un réseau protéique fibreux, homologue aux filaments intermédiaires qui double la membrane interne de l'enveloppe nucléaire formant une couche de 10 à 20 nm d'épaisseur et interrompue par des pores nucléaires. Ce réseau est composé de polypeptides appelés lamines de 3 types différents : lamine A, lamine B et lamine C. La lamine A et la lamine C sont quasi identiques.
Nucleoporins (Nups) build highly organized nuclear pore complexes (NPCs) at the nuclear envelope (NE). Several Nups assemble into a sieve-like hydrogel within the central channel of the NPCs. In the cytoplasm, the soluble Nups exist, but how their assembly ...
WILEY2020
Recognition of pathogen-derived molecules through germline-encoded receptors is a fundamental principle of innate immunity. Pattern recognition receptors detect specific intracellular danger signals to trigger potent immune responses. The DNA sensor cyclic ...
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The endoplasmic reticulum (ER) extends to the outer (ONM) and the inner (INM) nuclear membrane forming the nuclear envelope (NE) that delimits the nucleoplasm containing the cell genome. Unfolded protein responses (UPRs) and reticulophagy responses increas ...