References to climate change in popular culture have existed since the late 20th century and increased in the 21st century. Climate change, its impacts, and related human-environment interactions have been featured in nonfiction books and documentaries, but also literature, film, music, television shows and video games.
Science historian Naomi Oreskes noted in 2005 "a huge disconnect between what professional scientists have studied and learned in the last 30 years, and what is out there in the popular culture." An academic study in 2000 contrasted the relatively rapid acceptance of ozone depletion as reflected in popular culture with the much slower acceptance of the scientific consensus on climate change. Cultural responses have been posited as an important part of communicating climate change, but commentators have noted covering the topic has posed challenges due to its abstract nature. The prominence of climate change in popular culture increased during the 2010s, influenced by the climate movement, shifts in public opinion and changes in media coverage.
Climate change has been an occasional topic in fictional cinema. Nicholas Barber opined in BBC Culture that Hollywood films seldom feature climate change mechanisms due to the difficulty of tying the topic to individual characters, and due to fears of alienating audiences; instead, impacts of climate change have been more frequently depicted as a consequence of nuclear or geoengineering accidents.
Voyage to the Bottom of the Sea (1961) – A meteor shower ignites the Van Allen radiation belt and causes abrupt global warming that will render Earth uninhabitable within three weeks, which the United Nations attempts to solve by sending the submarine USOS Seaview into the Mariana Trench to fire a nuclear missile at the flaming belt.
The Day the Earth Caught Fire (1961) – Nuclear weapons testing by the United States and the Soviet Union tilt the Earth's nutation by 11 degrees, causing Earth to begin spiraling towards the Sun and global temperatures to rise.
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La climate fiction est un sous-genre littéraire abordant le thème du changement climatique dont le réchauffement climatique. Cet anglicisme, forgé sur le modèle de la science-fiction, est parfois abrégé en « cli-fi » dans les pays anglophones. En France, on voit « climat-fiction ». Le terme semble avoir été utilisé pour la première fois en 2007 par le blogueur et écrivain Dan Bloom. En octobre 2013, Angela Evancie, dans une critique du roman Odds against Tomorrow, de Nathaniel Rich, se demande si « les changements climatiques ont créé un nouveau genre littéraire ».
La couverture médiatique du réchauffement climatique influence l'opinion publique sur le réchauffement climatique. Elle relaie le consensus scientifique sur le réchauffement climatique selon lequel la température moyenne à la surface du globe augmente depuis les 50 dernières années et que cette tendance est principalement due aux émissions anthropiques des gaz à effet de serre. Depuis 2007, aucun corps scientifique de calibre national ou international n'a contesté cette affirmation, quoique quelques organisations n'aient pas pris position.
La communication sur le climat, aussi appelée « communication sur le changement climatique », ou « communication climatique », est un domaine d'études rattaché à la communication environnementale et à la communication scientifique. Son objectif est de faciliter la communication sur les effets des changements climatiques anthropiques. La communication climatique a généralement pour but de vulgariser auprès du grand public les connaissances scientifiques et les actions potentielles pouvant être entreprises en réponse au changement climatique et en accord avec les consensus scientifiques.