La dysurie est la difficulté à l'évacuation de l'urine, sans tenir compte de la douleur qui peut être associée. Elle est souvent méconnue car indolore et d'installation progressive.
On décrit la dysurie d'attente, initiale au début de la miction (l'urine sort difficilement avec un délai de quelques secondes) et la dysurie de poussée, parfois terminale.
Cette dysurie peut s'accompagner d'une diminution de la force du jet, d'un allongement du temps de la miction. La durée d'une miction normale varie de 30 à 35 secondes, en dysurie elle peut atteindre 1 minute. On en rapproche les mictions en deux temps, les gouttes retardataires et la sensation de vessie non vide en fin de miction.
Elle peut se manifester par des mictions plus fréquentes, le jour ou la nuit, impérieuses.
À la suite d'une dysurie, la vessie va subir des changements pour une compensation de l'obstacle qui bloque le libre cours des urines de l'extérieur.
Stade de vessie de lutte : C'est le premier stade. Le muscle de la vessie (détrusor) se contracte plus que le normal pour lutter contre le rétrécissement de l’urètre. Ces contractions induisent après un certain temps une hypertrophie inégale des muscles de la vessie dessinant sous la muqueuse des colonnes délimitant entre elles des cellules. C'est la vessie à cellules et colonnes qui constitue un premier signe de vessie de lutte.
Stade de diverticule : C'est un stade plus évolué, où la vessie ne peut plus lutter contre l'obstacle. Entre les faisceaux musculaires au niveau des cellules les plus faibles, la muqueuse vésicale subira une hernie faisant saillie hors de la vessie et devenant un diverticule.
Ces diverticules, de tailles très variables, peuvent faire stagner de l'urine qui aura du mal à s'évacuer puisque aucun muscle ne les entoure.
Dans ce stade, le résidu post-mictionnel est différent de 0, constituant une gêne de la vessie et pouvant être la source d'infection urinaire récidivante ou d'abcès.
Distension : C'est le stade de décompensation. La vessie, incapable de lutter contre l'obstacle, va finir par se distendre en augmentant de capacité.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Chronic prostatitis/chronic pelvic pain syndrome (CP/CPPS), previously known as chronic nonbacterial prostatitis, is long-term pelvic pain and lower urinary tract symptoms (LUTS) without evidence of a bacterial infection. It affects about 2–6% of men. Together with IC/BPS, it makes up urologic chronic pelvic pain syndrome (UCPPS). The cause is unknown. Diagnosis involves ruling out other potential causes of the symptoms such as bacterial prostatitis, benign prostatic hypertrophy, overactive bladder, and cancer.
vignette|Neutrophiles infectés par Neisseria gonorrhoeae, avec de petits diplocoques gram négatifs caractéristiques. vignette|Parfois la bactérie Neisseria gonorrhoeae provoque aussi des lésions dermatologiques. vignette|infection ophtalmique néonatale gonococcaique, qui survient chez 28 % des enfants nés de femmes porteuses d'une gonorrhée (en l'absence de traitement). vignette|Affiche diffusée lors de la Seconde Guerre mondiale pour alerter les soldats sur le risque de gonorrhée et autres maladies vénériennes.
Une vaginite est une inflammation de la vulve, du vagin ou des deux, ou un écoulement vaginal anormal non attribuable à une cervicite. Contrairement à une idée reçue, la vaginite est rarement en rapport avec une infection sexuellement transmissible (IST). Le protozoaire Trichomonas vaginalis est le seul agent sexuellement transmissible connu à causer une vulvo-vaginite et ne représente que 5 % des causes de vaginite. Mais la fréquence des consultations pour cette pathologie constitue néanmoins un moment important de l’évaluation des femmes à risque d'infection sexuelle.
The increased interest of reducing the infection rates of neglected tropical diseases like schistosomiasis in the world has raised the necessity of developing epidemiological monitoring techniques, in order to target specific areas where the risk of infect ...
2014
, ,
A severe complication of spinal cord injury is loss of bladder function (neurogenic bladder), which is characterized by loss of bladder sensation and voluntary control of micturition (urination), and spontaneous hyperreflexive voiding against a closed sphi ...
American Association for the Advancement of Science2013
patterns due to economic and sociologic activities in African rural area are an important factor in the comprehension of the transmission of this disease. Through interviews and a participatory workshop, activities related to water-contact were identified, ...
Explore l'augmentation des robots humains grâce à des systèmes robotiques portables, en se concentrant sur les défis supplémentaires de l'incarnation des membres et de la rétroaction sensorielle.
Déplacez-vous dans les expériences d'obéissance de Milgram, en analysant la dynamique de l'autorité et les facteurs influençant les niveaux de conformité.