En mécanique quantique, la représentation de Schrödinger est une des trois formulations et modes de traitement des problèmes dépendant du temps dans le cadre de la mécanique quantique classique. Dans cette représentation, l'état d'un système évolue avec le temps. Le principe de superposition quantique stipule qu'une fonction d'état est en général une combinaison linéaire d'états propres.
En mécanique quantique, la représentation de Heisenberg est une des trois formulations et modes de traitement des problèmes dépendant du temps dans le cadre de la mécanique quantique classique. Dans cette représentation, les opérateurs du système évoluent avec le temps alors que le vecteur d'état quantique ne dépend pas du temps. Remarque : La représentation de Heisenberg ne doit pas être confondue avec la « mécanique des matrices », quelquefois appelée « mécanique quantique de Heisenberg ».
Le h muet est une forme d'emploi dans la langue française de la lettre h, opposée au h aspiré. À l'oral, un h muet n'a aucune incidence sur la prononciation, et par conséquent, lorsqu'un mot commence par un h muet, on effectue la liaison et l'élision avec le mot précédent. Ainsi, l'heure se prononce comme l'Eure. Dans les autres langues romanes occidentales, le h est toujours muet, mais dans les langues romanes orientales il est prononcé. Prononciation du français H aspiré Les esprits dans le grec ancien C
H est la huitième lettre et la consonne de l'alphabet latin. La lettre sémitique ח (khêt) représentait probablement la consonne fricative pharyngale sourde . La forme du caractère représente sans doute une clôture. Le H de l'alphabet grec primitif représentait la consonne fricative glottale sourde , mais plus tard cette lettre devint êta (Η, η), une voyelle longue, . En grec moderne ce phonème a fusionné avec . L'étrusque et le latin possédaient le phonème , mais toutes les langues romanes, à l’exception du roumain et du gascon, ont perdu ce son.
Ħ (minuscule ħ), ou H barré est une lettre additionnelle qui est utilisée dans l'écriture du maltais, formée d'un H diacrité par une barre inscrite et aussi avec la lettre G pour former le graphème GĦ. Sa forme minuscule également utilisée par l'alphabet phonétique international. Cette forme est également similaire à celle de la minuscule du tié cyrillique (ћ) et du symbole pour la constante de Planck réduite, aussi nommée h-barre (ħ).