vignette|redresse=1.5|Selon le Rapport planète vivante 2016 de WWF, l'indice planète vivante affiche un déclin de 58 % des populations mondiales de vertébrés entre 1970 et 2012. La perte de la biodiversité, appelée aussi déclin de la biodiversité ou érosion de la biodiversité ou effondrement de la biodiversité, est une crise écologique qui implique l'extinction d'espèces (végétales ou animales) dans le monde entier, ainsi que la réduction ou la perte locale d'espèces dans un habitat donné, et la disparition d'écosystèmes.
Conservation biologists have designed a variety of objective means to empirically measure biodiversity. Each measure of biodiversity relates to a particular use of the data. For practical conservationists, measurements should include . For others, a more economically defensible definition should allow the ensuring of continued possibilities for both adaptation and future use by humans, assuring environmental sustainability. As a consequence, biologists argue that this measure is likely to be associated with the variety of genes.
Biodiversity banking, also known as biodiversity trading or conservation banking, biodiversity mitigation banks, compensatory habitat, set-asides, biodiversity offsets, are conservation activities that compensate for the loss of biodiversity with the goal of biodiversity maintenance through a framework which allows biodiversity to be reliably measured, and market based solutions applied to improving biodiversity. Biodiversity banking provides a means to place a monetary value on ecosystem services.
A biodiversity action plan (BAP) is an internationally recognized program addressing threatened species and habitats and is designed to protect and restore biological systems. The original impetus for these plans derives from the 1992 Convention on Biological Diversity (CBD). As of 2009, 191 countries have ratified the CBD, but only a fraction of these have developed substantive BAP documents.
Une inondation est une submersion temporaire, naturelle ou artificielle, d'un espace par de l'eau liquide. Ce terme est fréquemment utilisé pour décrire : le débordement d'un cours d'eau, en crue puis en décrue, sur les terrains voisins ; l'eau est répandue dans les talwegs et les dépressions topographiques ; le ruissellement très important d'origine pluviale, soit sur des terres cultivées (inondation boueuse), soit en zone imperméable urbanisée ; le débordement ou les conséquences de la rupture d'ouvrages artificiels hydrauliques tels que retenues d'eau, digues, canalisations (agricoles, d'eau potable, d'assainissement) ou la rupture d'une retenue naturelle comme celle d'un lac glaciaire, provoquant une inondation soudaine ; la remontée émergente d'une nappe phréatique ; l'envahissement temporaire par la mer d'une zone côtière lors d'une submersion marine ou d'un tsunami.