Fer sériqueLa ou fer sérique est le taux de fer en circulation dans le plasma sanguin (55% du volume du sang en moyenne) lié à la transferrine, protéine de transport du fer. Le fer sérique n'inclut donc pas le fer fixé à l’hémoglobine à l'intérieur des globules rouges. Le taux normal chez l'adulte moyen est compris entre 0,6 et , soit entre 11 et 34 micromoles/L . l'hyposidérémie désigne le manque (carence, malabsorption...) de fer, par exemple lié à des pertes sanguines, une inflammation...
Immortalised cell lineAn immortalised cell line is a population of cells from a multicellular organism which would normally not proliferate indefinitely but, due to mutation, have evaded normal cellular senescence and instead can keep undergoing division. The cells can therefore be grown for prolonged periods in vitro. The mutations required for immortality can occur naturally or be intentionally induced for experimental purposes. Immortal cell lines are a very important tool for research into the biochemistry and cell biology of multicellular organisms.
AtransferrinemiaAtransferrinemia is an autosomal recessive metabolic disorder in which there is an absence of transferrin, a plasma protein that transports iron through the blood. Atransferrinemia is characterized by anemia and hemosiderosis in the heart and liver. The iron damage to the heart can lead to heart failure. The anemia is typically microcytic and hypochromic (the red blood cells are abnormally small and pale). Atransferrinemia was first described in 1961 and is extremely rare, with only ten documented cases worldwide.
LactoferrineLa lactoferrine (parfois dite « LF ») est une glycoprotéine de la famille des transferrines qui se lie au fer et a des effets bactériostatiques, bactéricides, antiviraux, immunomodulateurs, anti-inflammatoires et protecteur de la muqueuse intestinale. Une partie de ces effets biologiques serait liée à sa très forte affinité pour le fer. Son gène est LTF situé sur le chromosome 3 humain. Elle est présente dans le lait cru. Ses concentrations dans le lait humain sont 5 à 10 fois plus élevées que dans le lait de vache laitière (/l).