Spatiotemporal gene expressionSpatiotemporal gene expression is the activation of genes within specific tissues of an organism at specific times during development. Gene activation patterns vary widely in complexity. Some are straightforward and static, such as the pattern of tubulin, which is expressed in all cells at all times in life. Some, on the other hand, are extraordinarily intricate and difficult to predict and model, with expression fluctuating wildly from minute to minute or from cell to cell.
Génération grandioseLa génération grandiose est une appellation désignant les personnes nées aux États-Unis entre 1905 et 1925. Cette expression a été forgée par le journaliste Tom Brokaw pour décrire la génération ayant grandi durant la Grande Dépression aux États-Unis, puis qui a combattu durant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que ceux qui ont fourni une contribution matérielle décisive à l'effort de guerre par leur productivité. Tom Brokaw, The Greatest Generation, New York, Random House, 1998, 464 p..
SéroconversionIn immunology, seroconversion is the development of specific antibodies in the blood serum as a result of infection or immunization, including vaccination. During infection or immunization, antigens enter the blood, and the immune system begins to produce antibodies in response. Before seroconversion, the antigen itself may or may not be detectable, but the antibody is absent. During seroconversion, the antibody is present but not yet detectable.
ÉpigénomiqueL’épigénomique est l'étude de l'ensemble des modifications épigénétiques d'une cellule.Les modifications épigénétiques sont réversibles dans l'ADN de la cellule ou les histones. Ceci affecte l'expression des gènes altérant la séquence d'ADN (Russell 2010 p. 475). Deux des modifications épigénétiques les plus caractéristiques sont: la méthylation de l'ADN et les modifications par les histones. Les modifications épigénétiques jouent un rôle important dans l'expression et la régulation des gènes et sont impliquées dans un nombre de processus cellulaires comme dans la différentiation/ le développement et la tumorigenèse.
Gp120La GP120 est une glycoprotéine exprimée par le VIH (virus responsable du syndrome d'immunodéficience acquise ou SIDA) La GP120 est une des protéines composant le virus communément appelé VIH ou virus de l'immunodéficience humaine (dont il existe deux types soit le 1 et le 2). C'est un rétrovirus d'environ 120nm de diamètre, relativement fragile, détruit par la chaleur à 60 °C et par les antiseptiques (alcool, eau de Javel...). Parasite obligatoire, il ne peut survivre plus de 5 à 6 heures hors d’une cellule.
ProvirusUn provirus (ou encore prophage dans le cas des bactéries) est une séquence virale incorporée dans le génome de la cellule hôte après virolage de celle-ci. Afin de réaliser ce virolage et plus particulièrement l'intégration au génome hôte, il faut que la cellule soit à la fois : vivante ; sensible (c'est-à-dire qu'à sa surface il y ait des protéines et en particulier des récepteurs membranaires) ; permissive (que son métabolisme permette l'ensemble du cycle de reproduction virale à savoir : l'entrée, la réplication et la sortie des nouveaux virions).
PaléovirologieLa paléovirologie est l'étude des virus ou d'anciennes souches virales qui existaient dans le passé et qu'on ne retrouve plus aujourd'hui. Elle cherche à retracer les vagues d’infections virales passées pour parvenir à comprendre comment les organismes infectés ont réussi à se prémunir contre ces attaques. De cette façon, les connaissances acquises contribuent à fournir un cadre conceptuel et les outils nécessaires au développement de nouvelles stratégies médicales de lutte contre les virus pathogènes.
ExomeL'exome est la partie du génome d'un organisme eucaryote constituée par les exons, c'est-à-dire les parties des gènes qui sont exprimées pour synthétiser les produits fonctionnels sous forme de protéines. C'est la partie du génome la plus directement liée au phénotype de l'organisme, à ses qualités structurelles et fonctionnelles. L'exome d'un être humain est estimé à 1,2 % de son génome, ce qui montre l'importance de l'ADN non codant.