MonohydrocalciteMonohydrocalcite is a mineral that is a hydrous form of calcium carbonate, CaCO3·H2O. It was formerly also known by the name hydrocalcite, which is now discredited by the IMA. It is a trigonal mineral which is white when pure. Monohydrocalcite is not a common rock-forming mineral, but is frequently associated with other calcium and magnesium carbonate minerals, such as calcite, aragonite, lansfordite, and nesquehonite. Monohydrocalcite has been observed in air conditioning systems, and in moonmilk deposits in caves, both probably formed from spray of carbonate rich fluids.
Roche carbonatéevignette|Répartition des sédiments marins dans l'Océan mondial (en jaune, sédiments carbonatés biogènes). Les roches carbonatées sont des roches sédimentaires résultant de la compaction de sédiments carbonatés et composés d'au moins 50 % de carbonates. Leur processus de formation dépend du taux de la concentration en ions Ca2+ et dans l'eau et de la quantité d'apport détritiques, mais aussi de la température (les roches carbonatées se forment essentiellement en zone intertropicale) et d'autres facteurs : élévation du pH (perte de de l'eau), de agitation hydrodynamique (ex.
Compteur Geigervignette|Un compteur Geiger. Le compteur Geiger, ou compteur Geiger-Müller (ou compteur G-M), sert à mesurer un grand nombre de rayonnement ionisant (particules alpha, bêta ou gamma et rayons X, mais pas les neutrons). Cet instrument de mesure, dont le principe est imaginé vers 1913 par Hans Geiger, est mis au point par lui et Walther Müller en 1928. Prononcé à tort « Gégère » en France, la prononciation du nom de son inventeur est : Geiger (« Gaïgueur »), ou Geiger-Müller.
Compteur proportionnel à gazUn compteur proportionnel à gaz est un détecteur de particules conçu pour détecter les radiations ionisantes. Il a un très bon rendement pour les photons de « faible énergie », en particulier les rayons X caractéristiques des « éléments légers ». Il s'agit d'un détecteur à ionisation de gaz, comme le compteur Geiger-Müller mais fonctionnant avec une plus basse tension ; ainsi, au lieu d'être en saturation — chaque arrivée de photon ou de particule provoque une étincelle maximum —, on est dans le régime linéaire : l'intensité de l'arc électrique créé est proportionnelle à l'énergie du photon, d'où le nom du détecteur.