Érosion génétiqueL'érosion génétique est la perte de diversité génétique entre et dans des populations au fil du temps, due à l'intervention humaine ou des modifications de l'environnement. Selon la FAO, le remplacement de variétés locales par des variétés améliorées ou exotiques est la principale cause de l'érosion génétique dans le monde. Commission des ressources génétiques pour l'alimentation et l'agriculture Catégorie:Mécanisme de l'évolution Catégorie:Sélection naturelle Catégorie:Génie génétique Catégorie:Génétique d
Algorithme génétiqueLes algorithmes génétiques appartiennent à la famille des algorithmes évolutionnistes. Leur but est d'obtenir une solution approchée à un problème d'optimisation, lorsqu'il n'existe pas de méthode exacte (ou que la solution est inconnue) pour le résoudre en un temps raisonnable. Les algorithmes génétiques utilisent la notion de sélection naturelle et l'appliquent à une population de solutions potentielles au problème donné.
Démécologiethumb|350px|Groupes familiaux d'éléphants, au sein d'une population régionale thumb|350px|Un groupe de « populations » constitue une métapopulation. Les populations d'animaux, plantes, champignons, microbes... contribuent au fonctionnement des écosystèmes, qui eux-mêmes forment des biomes et la biosphère ou symbiosphère (expression de Joël de Rosnay est le niveau planétaire d'intégration de toutes les échelles du Vivant (du gène à la somme des biomes (sans laquelle l'oxygène et donc la couche d'ozone n'existeraient pas) ; Le gène est représenté à part, car non vivant en tant que tel, mais support d'information et base du vivant.
Évolvabilitévignette|Profil de fitness trans-environment avec deux caractères montrant le degré de sélectabilité d'un phénotype selon un gradient d'expression des caractères en jeu. L’évolvabilité, ou évoluabilité, ou encore adaptabilité évolutionnaire, est un concept majeur de la biologie évolutive du développement, qui désigne la capacité d’un organisme à générer de la variation phénotypique héritable en réduisant les mutations désavantageuses ou létales. En d’autres termes, certains changements génétiques seront avantagés chez un organisme vivant grâce à différents processus.
Domestication du chienvignette|350px|Un grand chien employé à la chasse au lion figuré sur une mosaïque romaine. La domestication du chien est intervenue au début du Paléolithique supérieur. Le chien est la première espèce domestiquée par l'homme et la seule domestiquée au cours du Paléolithique. Ce cas particulier parmi les espèces domestiques lui permet d'occuper une place à part auprès de l'Homme. vignette|redresse=1.4|Canis lupus L'identité exacte de l'ancêtre du chien a longtemps été un mystère.
Programmation génétiqueLa programmation génétique est une méthode automatique inspirée par le mécanisme de la sélection naturelle tel qu'il a été établi par Charles Darwin pour expliquer l'adaptation plus ou moins optimale des organismes à leur milieu. Elle a pour but de trouver par approximations successives des programmes répondant au mieux à une tâche donnée. On nomme programmation génétique une technique permettant à un programme informatique d'apprendre, par un algorithme évolutionniste, à optimiser peu à peu une population d'autres programmes pour augmenter leur degré d'adaptation (fitness) à réaliser une tâche demandée par un utilisateur.
RaceChez les animaux domestiques, la race est un rang taxinomique informel, inférieur à l'espèce. Les races et les sous-races sont distinguées à des fins d'élevage et de sélection. vignette| Deux chiens de races différentes : un chihuahua et un dogue allemand. On parle ainsi de races bovines, canines, félines, ou caprines. Les taxons au rang de race n'ont pas de noms scientifiques internationaux, leur circonscription taxinomique repose généralement sur des critères subjectifs et pratiques (notamment utilisés pour la désignation commerciale).
Étude d'association pangénomiqueUne étude d'association pangénomique (en anglais genome-wide association study, GWAS) est une analyse de nombreuses variations génétiques chez de nombreux individus, afin d'étudier leurs corrélations avec des traits phénotypiques. Ces études se concentrent généralement sur les associations entre les polymorphismes nucléotidiques (SNP) et des phénotypes tels que les maladies humaines majeures. En effet, quand elle est appliquée sur des données humaines, une comparaison de séquences d’ADN se fait entre individus ayant plusieurs phénotypes différents pour un même caractère, la taille par exemple.
Espècevignette| redresse=1.2| L'espèce est l'unité de base de la classification du vivant. Dans les sciences du vivant, l’espèce (du latin species, « type » ou « apparence ») est le taxon de base de la systématique. La définition la plus communément admise est celle du concept biologique : une espèce est un ensemble d'individus qui peuvent effectivement ou potentiellement se reproduire entre eux et engendrer une descendance viable et féconde, dans des conditions naturelles.
Population momentumPopulation momentum is a consequence of the demographic transition. Population momentum explains why a population will continue to grow even if the fertility rate declines. Population momentum occurs because it is not only the number of children per woman that determine population growth, but also the number of women in reproductive age. Eventually, when the fertility rate reaches the replacement rate and the population size of women in the reproductive age bracket stabilizes, the population achieves equilibrium and population momentum comes to an end.