Problème de l'horizonLe problème de l'horizon a été pendant longtemps un casse-tête de la cosmologie, dont il est aujourd'hui communément admis que la solution est offerte par le paradigme de l'inflation cosmique. Un paradoxe apparent se posait : comment rendre compatible l'observation du fond diffus cosmologique, qui indique qu'à très grande échelle l'Univers est homogène et isotrope, avec la contrainte issue de la relativité indiquant que certaines régions de l'Univers sont si éloignées qu'il semblerait qu'elles n'aient jamais pu échanger d'information depuis le Big Bang ? On sait depuis la découverte de l'expansion de l'Univers que des régions du cosmos aujourd'hui éloignées étaient bien plus proches par le passé.
Mesure des distances en cosmologieEn cosmologie physique, la mesure des distances cosmologiques consiste à fournir la valeur d'une - ou un équivalent - entre deux objets ou évènements de l'Univers. On utilise souvent les mesures pour lier des quantités observables telles que la luminosité d'un quasar éloigné, le décalage vers le rouge d'une galaxie ou encore la dimension angulaire des pics acoustiques du spectre du fond diffus cosmologique, à une autre quantité qui n'est pas directement observable, mais est plus facile à calculer telles que les coordonnées comobiles des quasars, des galaxies, etc.
Decoupling (cosmology)In cosmology, decoupling refers to a period in the development of the universe when different types of particles fall out of thermal equilibrium with each other. This occurs as a result of the expansion of the universe, as their interaction rates decrease (and mean free paths increase) up to this critical point. The two verified instances of decoupling since the Big Bang which are most often discussed are photon decoupling and neutrino decoupling, as these led to the cosmic microwave background and cosmic neutrino background, respectively.
Correction KLe terme Correction K se réfère à une correction qui doit être appliquée à la magnitude de galaxies situées à différentes distances (ou redshifts), pour obtenir une mesure équivalente de sa magnitude dans le référentiel au repos. C'est Hubble en 1936 qui aurait introduit ce terme, K se référant à une constante. Néanmoins, Kinney et collaborateurs dans la note 7 de leur article (page 48) notent que Carl Wilhelm Wirtz en 1918 se serait référé à cette correction via le terme "Konstante" (terme allemand pour contante), d'où le terme "correction K".