Acier inoxydableL'acier inoxydable, couramment appelé acier inox ou inox, est un acier (alliage à base de fer et de carbone), comportant moins de 1,2 % de carbone et plus de 10,5 % de chrome, dont la propriété remarquable est d'être peu sensible à la corrosion et de ne pas se dégrader en rouille. La présence de chrome en solution au-delà de 10,5 % dans la matrice d'un acier provoque la formation d'une couche protectrice d'oxyde de chrome qui lui confère son inoxydabilité.
Mécanique de la ruptureLa catastrophe du Vol 587 American Airlines s'explique par la rupture de la dérive de l'appareil.|vignette La mécanique de la rupture tend à définir une propriété du matériau qui peut se traduire par sa résistance à la rupture fragile (fracture) ou ductile. Car si les structures sont calculées pour que les contraintes nominales ne dépassent pas, en règle générale, la limite d'élasticité du matériau et soient donc par voie de conséquence à l'abri de la ruine par rupture de type ductile ; elles ne sont pas systématiquement à l'abri d'une ruine causée par la présence d'une fissure préexistante à la mise en service ou créée en service par fatigue (comme lors de la catastrophe ferroviaire de Meudon) ou par corrosion sous contrainte.
EinsteiniumL'einsteinium (symbole Es) est l'élément chimique de numéro atomique 99, ainsi nommé en l'honneur d'Albert Einstein. C'est un élément transuranien de la famille des actinides, radioactif et synthétique. thumb|150px|left|Environ d'einsteinium 253. Dans les conditions normales de température et de pression, le corps simple est un métal blanc argenté, de structure cristalline cubique à faces centrées. Sa température de fusion est de . Il forme différents composés avec l'oxygène et les halogènes : , EsF_3, EsF_4, EsCl_3, EsBr_3, EsI_3 et EsOCl.
Tube AlloysTube Alloys était le nom de code du programme d'arme nucléaire britannique pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque la possibilité même d'existence des armes nucléaires était tenue au plus haut niveau de secret. Il a été intégré au projet Manhattan américain, à la suite de l'accord de Québec en . Otto Hahn en Allemagne, et Lise Meitner, exilée en Suède avaient rendu compte de la fission nucléaire dans l'uranium en 1938.