Langage de programmationthumb|Fragment de code écrit dans le langage de programmation JavaScript. Un langage de programmation est un langage informatique destiné à formuler des algorithmes et produire des programmes informatiques qui les appliquent. D'une manière similaire à une langue naturelle, un langage de programmation est composé d'un alphabet, d'un vocabulaire, de règles de grammaire, de significations, mais aussi d'un environnement de traduction censé rendre sa syntaxe compréhensible par la machine.
Global serializabilityIn concurrency control of databases, transaction processing (transaction management), and other transactional distributed applications, global serializability (or modular serializability) is a property of a global schedule of transactions. A global schedule is the unified schedule of all the individual database (and other transactional object) schedules in a multidatabase environment (e.g., federated database).
Pseudo-codeEn programmation, le pseudo-code, également appelé LDA (pour Langage de Description d'Algorithmes) est une façon de décrire un algorithme en langage presque naturel, sans référence à un langage de programmation en particulier. L'écriture en pseudo-code permet souvent de bien prendre toute la mesure de la difficulté de la mise en œuvre de l'algorithme, et de développer une démarche structurée dans la construction de celui-ci.
In-memory processingIn computer science, in-memory processing (PIM) is a computer architecture for processing data stored in an in-memory database. In-memory processing improves the power usage and performance of moving data between the processor and the main memory. Older systems have been based on disk storage and relational databases using Structured Query Language, which are increasingly regarded as inadequate to meet business intelligence (BI) needs.
Mode réelLe mode réel est le mode de fonctionnement par défaut des processeurs compatibles Intel x86. Il est aujourd'hui désuet car on lui préfère le mode protégé qui est plus robuste face aux erreurs matérielles et de programmation. Le mode réel est caractérisé par un adressage de l'espace mémoire sur 20 bits au total, ce qui permet d'accéder à seulement un Mio. L'accès se fait par un couple de registres segment:offset ayant chacun une taille de , Ce mode permet un accès direct à toute la mémoire, aux différentes interruptions entrée/sorties, dont celles du BIOS.
Verrou global du noyauLe verrou global du noyau, en anglais Big Kernel Lock (BKL) ou Giant Lock (littéralement le « verrou géant du noyau »), est un mécanisme qui permet de suspendre toutes les opérations du noyau d'un système d'exploitation de manière à contrôler les accès concurrents sur les machines multi-processeurs à mémoire partagée (SMP). Ce système consiste à poser un verrou sur l'accès à l'espace noyau dès qu'une tâche y entre pour éviter tout risque de concurrence. Une fois la tâche achevée, le verrou est relâché.
Global interpreter lockA global interpreter lock (GIL) is a mechanism used in computer-language interpreters to synchronize the execution of threads so that only one native thread (per process) can execute at a time. An interpreter that uses GIL always allows exactly one thread to execute at a time, even if run on a multi-core processor. Some popular interpreters that have GIL are CPython and Ruby MRI. A global interpreter lock (GIL) is a mutual-exclusion lock held by a programming language interpreter thread to avoid sharing code that is not thread-safe with other threads.
Déséconomie d'échelleEn microéconomie, les déséconomies d'échelle sont les inconvénients de coût que les entreprises et les gouvernements accumulent en raison de l'augmentation de la taille ou de la production des entreprises, ce qui entraîne une production de biens et de services à des coûts unitaires plus élevés. Cela suit généralement la loi des rendements décroissants, où une augmentation supplémentaire de la production entraînera une augmentation encore plus importante du coût moyen. Ce concept est le contraire des économies d'échelle.
Injection létaleL'injection létale est une méthode d'exécution qui consiste à injecter un ou plusieurs produits à un condamné afin de lui ôter la vie. Depuis 1982, plusieurs milliers de personnes auraient ainsi été exécutées par injection mortelle dans le monde : trois au Guatemala, six en Thaïlande, sept aux Philippines, plus de aux États-Unis et jusqu’à plusieurs milliers en Chine. Le docteur Julius Mount Bleyer proposa cette méthode d'exécution dès 1888, à New York, mais celle-ci ne fut pas acceptée.
Peine de mort aux États-Unisvignette|upright=1.5|Une salle d'exécution par injection létale située dans la prison d’État de San Quentin, en Californie. La peine de mort aux États-Unis est appliquée au niveau fédéral, par la justice militaire ainsi que dans vingt-six des cinquante États fédérés que compte le pays. Aujourd'hui, les États-Unis font partie du cercle restreint des démocraties libérales qui appliquent la peine de mort.