Technologie de l'hydrogèneLes technologies de l'hydrogène sont les technologies de production, de transport et distribution, de stockage et d'utilisation du dihydrogène. Ce vecteur énergétique a une place centrale dans la perspective d'une économie hydrogène. La liste des technologies fondées sur l'utilisation du dihydrogène est donnée ci-dessous.
Sulfur-reducing bacteriaSulfur-reducing bacteria are microorganisms able to reduce elemental sulfur (S0) to hydrogen sulfide (H2S). These microbes use inorganic sulfur compounds as electron acceptors to sustain several activities such as respiration, conserving energy and growth, in absence of oxygen. The final product of these processes, sulfide, has a considerable influence on the chemistry of the environment and, in addition, is used as electron donor for a large variety of microbial metabolisms.
Cycle soufre-iodeLe cycle iode-soufre (cycle IS ou S-I en anglais) est une série de processus thermochimiques utilisée pour la production d'hydrogène. Il consiste en trois réactions chimiques dont le réactif net est l'eau et dont les produits nets sont de l'hydrogène et de l'oxygène. I2 + SO2 + 2 H2O → 2 HI + H2SO4 () (Réaction 1) 2 H2SO4 → 2 SO2 + 2 H2O + O2 () (Réaction 2) 2 HI → I2 + H2 () (Réaction 3) Le soufre et l'iode sont récupérés et réutilisés, ce qui fait que le procédé global peut être considéré comme un cycle.
AutotrophAn autotroph is an organism that produces complex organic compounds (such as carbohydrates, fats, and proteins) using carbon from simple substances such as carbon dioxide, generally using energy from light (photosynthesis) or inorganic chemical reactions (chemosynthesis). They convert an abiotic source of energy (e.g. light) into energy stored in organic compounds, which can be used by other organisms (e.g. heterotrophs).
PhototrophieLa phototrophie (du grec ancien , photos « lumière » et , trophein « nourriture ») est le type trophique des organismes vivants qui tirent leur énergie à partir de la lumière, par photosynthèse ou grâce à des protéines comme les bactériorhodopsines. Le phototrophe qualifie un organisme autotrophe disposant de cette capacité de phototrophie. La phototrophie n'est pas le seul mode de vie autotrophe. La chimiotrophie est un mode caractéristique des organismes qui tirent leur énergie de la transformation de molécules.
ThiosulfateLe thiosulfate (autrefois dit hyposulfite) est un ion qui a pour formule S2O32−. Pour le faire intervenir, le composé habituel est le thiosulfate de sodium. Autrefois produit par exemple en France sous le nom d'hyposulfite par Rhodia sur son site Rhodia opération SAS (Nord), il a été utilisé pour la fixation des épreuves photographiques par Victor Plumier au , comme antidote à certains biocides, ou à certaines armes chimiques telles que le chlore utilisé lors de la Première Guerre mondiale.
ChimiotrophieLa chimiotrophie est un des types trophiques caractérisant le mode de nutrition des organismes vivants. On parle de chimiotrophie pour les organismes qui trouvent l'énergie nécessaire au développement de leurs cellules sans utiliser celle de la lumière du Soleil (ou d'une source artificielle). Il désigne de manière ambiguë les métabolismes à source d'énergie chimique inorganique. L’ambiguïté vient de ce que le préfixe chimio- désigne la nature chimique de la source d'énergie, le plus souvent organique, comme chez les Animaux.
SyntrophieLa syntrophie (ou synthrophie) provient du grec ancien σύν, sún (« avec ») et τροφικός, trophikós (« nourrissant »). Ce terme qualifie une relation symbiotique obligatoire entre deux espèces où l'une se nourrit des produits de l'autre. Dans cette association, le développement d'un des deux partenaires est amélioré et dépend des nutriments, des facteurs de croissance ou du substrat fournis par l'autre partenaire. Jan Dolfing décrit la syntrophie comme étant « l'interdépendance critique entre producteur et consommateur ».