ParamagnétismeLe paramagnétisme désigne en magnétisme le comportement d'un milieu matériel qui ne possède pas d'aimantation spontanée mais qui, sous l'effet d'un champ magnétique extérieur, acquiert une aimantation orientée dans le même sens que le champ magnétique appliqué. Un matériau paramagnétique possède une susceptibilité magnétique de valeur positive (contrairement aux matériaux diamagnétiques). Cette grandeur sans unité est en général assez faible (dans une gamme allant de à ).
Verre de spinvignette|Représentation schématique d'une structure aléatoire d'un verre de spins (haut) et d'un état ferromagnétique (bas). Les verres de spin sont des alliages métalliques comportant un petit nombre d'impuretés magnétiques disposées au hasard dans l'alliage. À chaque impureté est associée un spin. Le couplage entre ces différents spins peut être plus ou moins intense - attractif ou répulsif - en fonction de la distance qui les sépare.
Resonating valence bond theoryIn condensed matter physics, the resonating valence bond theory (RVB) is a theoretical model that attempts to describe high-temperature superconductivity, and in particular the superconductivity in cuprate compounds. It was first proposed by an American physicist P. W. Anderson and Indian theoretical physicist Ganapathy Baskaran in 1987. The theory states that in copper oxide lattices, electrons from neighboring copper atoms interact to form a valence bond, which locks them in place.
Orbite de MolniaL'orbite de Molnia ou Molniya (en russe, молния, « foudre ») est une catégorie d'orbites très elliptiques, inclinée à 63,4° par rapport au plan de l'équateur et d'une période de . Son apogée est proche de et son périgée proche de . Un satellite placé sur cette orbite passe la plupart de son temps au-dessus de la zone d'activité utile pour laquelle il a été conçu, un phénomène appelé angle de saturation d'apogée. Par rapport à une orbite géostationnaire, l'orbite de Molnia présente l'avantage de pouvoir couvrir les latitudes hautes en choisissant une inclinaison orbitale appropriée.
Vol orbitalvignette|Soyouz en vol orbital lors de la Apollo-Soyouz en 1975. Un vol orbital est un vol spatial où l'engin est placé en orbite autour d'un astre, ce qui signifie qu'il décrit une trajectoire circulaire autour de celui-ci sous l'effet de la gravitation. Pour mettre en orbite un satellite, il faut lui faire atteindre une vitesse et une altitude suffisante. Pour atteindre une orbite terrestre basse, le satellite doit atteindre la première vitesse cosmique qui représente la vitesse de satellisation minimale autour de la Terre.
OrbitographieEn astronautique, l'orbitographie désigne la détermination des éléments orbitaux d'un satellite artificiel. Deux problèmes célèbres d'orbitographie sont : le problème de Gauss qui consiste à déterminer l'orbite, puis le mouvement d'un corps, connaissant 3 positions successives, , et . C'est en retrouvant Cérès en 1801, à partir de données parcellaires recueillies en , que Gauss se fait connaître. Ce problème a donc été baptisé en son honneur.
Vol suborbitalvignette|Mercury-Redstone est une fusée permettant uniquement d'effectuer des vols suborbitaux à bord de capsule Mercury. Ici, le décollage de la mission Mercury-Redstone 3, avec l'astronaute Alan Shepard. Un vol suborbital est un vol spatial d'un engin spatial se déplaçant dans l'espace à une vitesse suborbitale, inférieure à la vitesse requise pour qu'il se maintienne en orbite. Le premier vol suborbital est effectué le par l'astronaute Alan Shepard lors de la mission Mercury-Redstone 3.
Relation diagonaleUne relation diagonale existe entre certains éléments chimiques voisins des deuxième et troisième périodes du tableau périodique. Il s'agit des paires : lithium - magnésium béryllium - aluminium bore - silicium carbone - phosphore azote - soufre oxygène - chlore (du point de vue de l'électronégativité) Par exemple, la solubilité des sels de lithium ressemble plus à celle des sels de magnésium correspondants qu'à celle des sels des autres métaux alcalins.
Orbital station-keepingIn astrodynamics, orbital station-keeping is keeping a spacecraft at a fixed distance from another spacecraft or celestial body. It requires a series of orbital maneuvers made with thruster burns to keep the active craft in the same orbit as its target. For many low Earth orbit satellites, the effects of non-Keplerian forces, i.e. the deviations of the gravitational force of the Earth from that of a homogeneous sphere, gravitational forces from Sun/Moon, solar radiation pressure and air drag, must be counteracted.
HétéroatomeIn chemistry, a heteroatom () is, strictly, any atom that is not carbon or hydrogen. In practice, the term is usually used more specifically to indicate that non-carbon atoms have replaced carbon in the backbone of the molecular structure. Typical heteroatoms are nitrogen (N), oxygen (O), sulfur (S), phosphorus (P), chlorine (Cl), bromine (Br), and iodine (I), as well as the metals lithium (Li) and magnesium (Mg). It can also be used with highly specific meanings in specialised contexts.