Masse jovienneEn astronomie, la masse jovienne (M, M ou encore M) est une unité de masse couramment employée pour exprimer la masse des objets substellaires, notamment des exoplanètes géantes gazeuses et des naines brunes. Elle représente la masse de la planète Jupiter, qui vaut , soit (M) ou (M). En , la générale de l'Union astronomique internationale a défini la « masse jovienne nominale », une valeur devant rester constante quelles que soient les améliorations ultérieures de la précision des mesures de M.
Limite d'EddingtonLa limite d'Eddington, ou luminosité d'Eddington, est une valeur de luminosité qu'un objet céleste (par exemple une étoile) ne peut dépasser : au-delà, la pression de radiation prend le pas sur la gravité et des constituants de l'objet sont éjectés. La masse d'une étoile pouvant être reliée à sa luminosité au travers du diagramme de Hertzsprung-Russell, la limite d'Eddington est équivalente à une limite sur la masse d'une étoile. Cette quantité porte le nom de l'astrophysicien britannique Arthur Eddington, qui est à l'origine de ce concept.
Planète-océanvignette|300px|droite|Vue d'artiste d'une planète-océan. Une planète-océan est un type hypothétique de planète qui serait intégralement recouverte d'un océan, d'eau ou éventuellement d'autres composés volatils, d'une profondeur variable mais pouvant être de plusieurs dizaines de kilomètres. Initialement proposé par David J. Stevenson de l'Institut californien de technologie, ce modèle a été approfondi par l'équipe de Christophe Sotin de l'université de Nantes.
Nettoyage du voisinage d'une orbiteDans les phases finales de la formation des planètes selon l'hypothèse nébulaire, une planète, au sens de la définition actuelle, se doit d'avoir « éliminé son voisinage », expression imagée pour signifier que, sur sa propre zone orbitale, du point de vue de la gravitation, elle est devenue dominante et qu'il n'existe plus aucun autre corps de taille comparable hormis ses propres satellites naturels, ou bien des corps qui sont placés, d'une façon quelconque ou caractéristique, sous son influence gravitationn
Science du système Terrevignette|La biosphère comme un système unique des autres systèmes. L'écosphère, ou système du Vivant, est au centre. La science du système Terre, en anglais Earth system science, est une discipline scientifique intégrant diverses études académiques dans le but de comprendre la Terre, considérée comme un système et constituée de l'atmosphère, de l'hydrosphère, de la lithosphère et de la biosphère. Le nom de géophysiologie, proposée par James Lovelock, y est synonyme.
Substance volatilevignette|Cette coupe illustre un modèle de l'intérieur de Jupiter, comprenant un noyau rocheux recouvert d'une couche profonde d'hydrogène métallique. En planétologie, une substance volatile est un élément chimique ou un composé chimique ayant un bas point d'ébullition et qui se sublime donc facilement. Ces éléments sont associés à la croûte ou à l'atmosphère d'une planète ou d'un satellite naturel. Ce sont par exemple l'azote, l'eau, le dioxyde de carbone, l'ammoniac, l'hydrogène, le méthane et le dioxyde de soufre.
Plate reconstructionThis article describes techniques; for a history of the movement of tectonic plates, see Geological history of Earth. Plate reconstruction is the process of reconstructing the positions of tectonic plates relative to each other (relative motion) or to other reference frames, such as the Earth's magnetic field or groups of hotspots, in the geological past. This helps determine the shape and make-up of ancient supercontinents and provides a basis for paleogeographic reconstructions.
Hypothèse de la Terre rareEn astronomie planétaire et en astrobiologie, l'hypothèse de la Terre rare soutient que l'émergence d'une vie multicellulaire complexe (metazoa) sur Terre a exigé une combinaison improbable d'événements et de circonstances astrophysiques et géologiques. L'expression « Terre rare » provient du livre Rare Earth: Why Complex Life Is Uncommon in the Universe (2000), étude coécrite par le géologue et paléontologue Peter Ward, et l'astronome et astrobiologiste Donald E. Brownlee. Cet ouvrage constitue la source de l'essentiel du présent article.
Âge de la TerreL'âge de la Terre est, selon les connaissances actuelles, de 4,54 milliards d'années ( ± 1 %). Cette datation repose sur des preuves scientifiques provenant de la datation radiométrique des météorites et se trouve cohérente avec l'âge des échantillons des plus anciennes roches lunaires et terrestres connues. Cet "âge" correspond au début de l'accrétion de la Terre. Avec la Révolution scientifique et le développement de la datation radiométrique, les mesures de traces dans des minéraux riches en uranium démontraient que certains étaient âgés de plus d'un milliard d'années.
Earth's circumferenceEarth's circumference is the distance around Earth. Measured around the equator, it is . Measured around the poles, the circumference is . Measurement of Earth's circumference has been important to navigation since ancient times. The first known scientific measurement and calculation was done by Eratosthenes, by comparing altitudes of the mid-day sun at two places a known north–south distance apart. He achieved a great degree of precision in his computation. Treating the Earth as a sphere, its circumference would be its single most important measurement.