Earthquake warning systemAn earthquake warning system or earthquake early warning system is a system of accelerometers, seismometers, communication, computers, and alarms that is devised for notifying adjoining regions of a substantial earthquake while it is in progress. This is not the same as earthquake prediction, which is currently incapable of producing decisive event warnings. An earthquake is caused by the release of stored elastic strain energy during rapid sliding along a fault.
Théorie du rebond élastiquevignette|Modèle du rebond élastique. vignette|redresse=1.5|La majorité des failles présentent un cycle sismique constitué de périodes intersismiques correspondant à une mise en charge de la faille bloquée pendant des centaines d'années, et de sauts cosismiques quasi instantanés (quelques minutes) qui rattrapent la déformation accumulée.
Strong ground motionIn seismology, strong ground motion is the strong earthquake shaking that occurs close to (less than about 50 km from) a causative fault. The strength of the shaking involved in strong ground motion usually overwhelms a seismometer, forcing the use of accelerographs (or strong ground motion accelerometers) for recording. The science of strong ground motion also deals with the variations of fault rupture, both in total displacement, energy released, and rupture velocity.
MégaséismeUn groupe de travail dit Mégaséismes et mégatsunamis a été constitué en France par l'académie des sciences (présidé par Jacques Freidel. Il a retenu comme définition de mégaséismes les plus gros tremblements de terre, de magnitude supérieure à 8,5 ; qui naissent à l'interface entre deux plaques dans une zone de subduction, à des profondeurs généralement de moins de sous la surface du sol. Les deux derniers mégaséismes ont été observés : au Japon le 11 mars 2011 (magnitude : 9,0 à 9,1), au Chili le 27 février 2010 (magnitude 8,8).
Discontinuité de GutenbergLa discontinuité de Gutenberg ou limite noyau-manteau (en anglais, core-mantle boundary ou CMB) est une discontinuité dans la vitesse sismique qui délimite le noyau et le manteau. Elle se situe à environ de profondeur. Nommée d'après le sismologue Beno Gutenberg, elle est aussi parfois appelée « interface noyau-manteau » ou CMB (anglais core-mantle boundary). Au niveau de cette discontinuité, le rapport pression/température permet la fusion des roches du manteau, grâce notamment à la cristallisation du noyau de fer liquide.
Aléa sismiquevignette|Ceinture de feu du Pacifique L'aléa sismique est la probabilité qu'un séisme destructeur de caractéristiques données (exprimées en général par des paramètres tels que l’accélération, la période de récurrence, l’intensité, le spectre de réponse...) se produise dans une région donnée pendant une période donnée. Il ne doit pas être confondu avec le risque sismique qui est la probabilité qu'un séisme engendre des destructions et fasse des victimes. Ce risque est une combinaison de .
Manteau primitifvignette|240x240px| Illustration illustrant trois processus proposés entraînant la différenciation noyau-manteau (dyke, percolation et diapirisme de fer), séparant ainsi le noyau du manteau primitif. En géochimie, le manteau primitif, également nommé Terre silicatée ( ou BSE) est la composition chimique du manteau terrestre au cours de la phase de développement entre la différenciation noyau-manteau et la formation de la croûte continentale précoce. La composition chimique du manteau primitif témoigne des caractéristiques à la fois de la croûte et du manteau.
Active faultAn active fault is a fault that is likely to become the source of another earthquake sometime in the future. Geologists commonly consider faults to be active if there has been movement observed or evidence of seismic activity during the last 10,000 years. Active faulting is considered to be a geologic hazard - one related to earthquakes as a cause. Effects of movement on an active fault include strong ground motion, surface faulting, tectonic deformation, landslides and rockfalls, liquefaction, tsunamis, and seiches.
Magnitude de momentL'échelle de magnitude de moment est une des échelles logarithmiques qui mesurent la magnitude d'un séisme, c'est-à-dire la « taille » d'un séisme proportionnelle à l'énergie sismique dégagée. Centrée sur les basses fréquences des ondes sismiques, elle quantifie précisément l'énergie émise par le séisme. Elle ne présente pas de saturation pour les plus grands événements, dont la magnitude peut être sous-évaluée par d'autres échelles, faussant ainsi les dispositifs d'alerte rapide essentiels pour la protection des populations.
Faillevignette|Vue aérienne de la faille de San Andreas (Californie). En géologie, une faille est une structure tectonique consistant en un plan ou une zone de rupture le long duquel deux blocs rocheux se déplacent l'un par rapport à l'autre. Ce plan divise un volume rocheux en deux compartiments qui ont glissé l'un par rapport à l'autre dans un contexte de déformation fragile. Ce déplacement et la déformation cisaillante sont dus aux forces exercées par les contraintes tectoniques, qui résultent de la tectonique des plaques ou à la force gravitaire (instabilité gravitaire).