Communauté en ligneUne communauté en ligne désigne « un groupement d’individus ayant des intérêts communs et interagissant entre eux, autour d’une activité particulière, par le biais de dispositifs sociotechniques connectés par le réseau internet » . Le terme « en ligne » signifie que les membres interagissent via internet. Le terme « communauté virtuelle » (virtual community) est attribué au livre du même nom publié en 1993 et écrit par Howard Rheingold.
Bien (philosophie)vignette|La Bonté (1839). Plâtre (Surmoulage) au musée François Rude de Dijon. Le Bien est, avec l'Un et le Vrai, l'un des trois transcendantaux de la Scolastique ; il est surtout de nos jours la valeur normative de la morale, avec comme opposé le Mal. La détermination de ce qui est bien ou mal, à distinguer de ce qui fait du bien, de ce qui fait mal, peut se faire dans le cadre des règles de civilité, de l'honneur, de l'utilité collective, de l'intérêt public, ou au contraire particulier.
Modèle transthéorique de changementvignette|upright=1.5|Stages de changement, selon le modèle transthéorique. Le modèle transthéorique de changement, du changement ou de la disposition au changement est un modèle d'approche comportementale introduit par les psychologues James O. Prochaska et Carlo C. Di Clemente à la fin des années 1983. Selon Prochaska et Di Clemente (1982), les personnes aux prises avec un problème de dépendance passeraient par une série de stades de changement : précontemplation, contemplation, détermination, action, maintien, rechute.
Bien et mal (philosophie)Dans les domaines religieux, éthique, philosophique et psychologique, « le bien et le mal » est un couple de concepts courant. Dans les cultures d'inspiration manichéenne ou abrahamique, le mal est généralement considéré comme l’opposé du bien, dans lequel le bien devrait prévaloir et le mal aurait vocation à être vaincu. Dans les cultures d'inspiration bouddhiste, le bien et le mal sont perçus comme une dualité antagoniste qui doit elle-même être surmontée en réalisant Śūnyatā, c'est-à-dire la reconnaissance du bien et du mal en tant que principes opposés mais complémentaires.