Numéro atomique400px|droite Le numéro atomique (Z) représente, en chimie et en physique, le nombre de protons d'un atome. Ce dernier peut être schématisé, en première approche, par une agglomération compacte (noyau atomique) de protons (p+) et de neutrons (n), autour de laquelle circulent des électrons (e−). Dans un atome de charge électrique neutre, le nombre d'électrons est égal au numéro atomique. Comme les protons sont les seuls éléments du noyau avec une charge, le nombre de protons est égal au nombre d'électrons.
Nuage interstellaire localvignette|200px|Diagramme des nuages avoisinants de matière au travers lesquels le Système solaire voyage ; les flèches indiquent le mouvement des nuages. vignette|200px|Carte montrant le Soleil près de la limite de notre nuage interstellaire local et Alpha Centauri à environ 4 années-lumière dans le Nuage G. Le Nuage interstellaire local, appelé parfois Peluche locale, est un nuage interstellaire mesurant environ de large. Le Système solaire s'y déplace actuellement, depuis son entrée s'étalant entre .
Even and odd atomic nucleiIn nuclear physics, properties of a nucleus depend on evenness or oddness of its atomic number (proton number) Z, neutron number N and, consequently, of their sum, the mass number A. Most importantly, oddness of both Z and N tends to lower the nuclear binding energy, making odd nuclei generally less stable. This effect is not only experimentally observed, but is included in the semi-empirical mass formula and explained by some other nuclear models, such as the nuclear shell model.
Interaction faiblethumb|right|330px|L'interaction faible déclenche la nucléosynthèse dans les étoiles. L'interaction faible (aussi appelée force faible et parfois force nucléaire faible) est l'une des quatre interactions fondamentales de la nature, les trois autres étant les interactions électromagnétique, forte et gravitationnelle. Elle est responsable de la désintégration radioactive de particules subatomiques et est à l'origine de la fusion nucléaire dans les étoiles.
Nuage interstellaireEn astronomie, nuage interstellaire est le nom générique donné aux accumulations de gaz et de poussières dans notre Galaxie. C'est le milieu d'où naissent les systèmes stellaires. Comptant quelques dizaines de milliards d'atomes par mètre cube (par opposition à notre atmosphère, qui en compte 25 millions de milliards de milliards), et s'étendant sur des centaines d'années-lumière, il contient l'équivalent de plusieurs milliers de fois la masse du Soleil en matière gazeuse.
Émission de positronL'émission de positron ou désintégration β+ est un type de désintégration radioactive β dans laquelle un proton est converti en neutron, avec émission d'une particule β+ (positron) et d'un neutrino: Les protons et neutrons ne sont pas des particules élémentaires, mais sont chacun constitués de trois quarks : un proton est constitué de deux quark up de charge +2/3 et d'un quark down de charge −1/3 (uud), ce qui lui confère une charge +1 ; un neutron est constitué de deux quarks down et un quark up (udd), d'o
Voie lactéeLa Voie lactée, aussi nommée la Galaxie (avec une majuscule), est une galaxie spirale barrée qui comprend entre 200 et d'étoiles, et sans doute plus de de planètes. Elle abrite le Système solaire et donc la Terre. Son diamètre est estimé à , voire à ou à , bien que le nombre d'étoiles au-delà de soit très faible. Son cortège de galaxies satellites et elle font partie du Groupe local, lui-même rattaché au superamas de la Vierge appartenant lui-même à Laniakea.
Faster-than-light neutrino anomalyIn 2011, the OPERA experiment mistakenly observed neutrinos appearing to travel faster than light. Even before the source of the error was discovered, the result was considered anomalous because speeds higher than that of light in vacuum are generally thought to violate special relativity, a cornerstone of the modern understanding of physics for over a century. OPERA scientists announced the results of the experiment in September 2011 with the stated intent of promoting further inquiry and debate.
Neutrino stérileLe neutrino stérile est un type hypothétique de neutrino qui n'interagit via aucune des interactions fondamentales du modèle standard de la physique des particules, hormis la gravité. C'est un neutrino dextrogyre (autrement dit à chiralité droite) léger ou bien un antineutrino lévogyre qui pourrait s'ajouter au modèle standard, et prendre part aux phénomènes tels que le mélange des neutrinos. Le terme neutrino stérile est utilisé pour le distinguer du neutrino actif du modèle standard, qui dispose d'une charge pour l'interaction faible.
Mesure de la vitesse des neutrinosDes expériences de mesure de la vitesse des neutrinos ont été réalisées afin de tester la relativité restreinte et de déterminer la masse des neutrinos. Des recherches astronomiques cherchent à savoir si la lumière (photons) et les neutrinos émis simultanément par une source distante parviennent en même temps sur Terre ou non. Les recherches au sol comprennent des mesures de utilisant des horloges synchronisées et la comparaison directe de la vitesse des neutrinos à celle d'autres particules.