Désintégration du protonEn physique des particules, la désintégration du proton désigne un mode hypothétique de décroissance radioactive dans laquelle le proton se désintègre en des particules subatomiques plus légères, comme le pion neutre et le positron. Il n'existe actuellement aucune preuve expérimentale indiquant que la désintégration du proton se produise ; ce qui place la demi-vie théorique du proton à une valeur supérieure à 10 années. Dans le modèle standard, les protons (un type de baryon), sont théoriquement stables parce que le nombre baryonique est censé se conserver.
Even and odd atomic nucleiIn nuclear physics, properties of a nucleus depend on evenness or oddness of its atomic number (proton number) Z, neutron number N and, consequently, of their sum, the mass number A. Most importantly, oddness of both Z and N tends to lower the nuclear binding energy, making odd nuclei generally less stable. This effect is not only experimentally observed, but is included in the semi-empirical mass formula and explained by some other nuclear models, such as the nuclear shell model.
Chaîne proton-protonLa chaîne proton-proton, aussi connue sous le nom de « chaîne PP », est l'une des deux chaînes de réactions de fusion nucléaire par lesquelles les étoiles produisent de l'énergie, l'autre réaction étant le cycle carbone-azote-oxygène. Elle est prédominante dans les étoiles de masse relativement faible, comme celle du Soleil ou moindre. Fichier:Wpdms physics proton proton chain 1.svg|Fusion de deux protons pour former un noyau de deutérium et émettre un positron et un neutrino. Fichier:Wpdms physics proton proton chain 2.
Compton Gamma-Ray ObservatoryLe Compton Gamma-Ray Observatory (CGRO) est un observatoire spatial pour les rayons γ développé par la NASA. C'est l'un des quatre télescopes spatiaux du programme des Grands Observatoires développé par l'agence spatiale américaine dans les années 1980 pour traiter les principales questions dans le domaine de l'astronomie et de l'astrophysique. Il est placé en orbite par la navette spatiale Atlantis (mission STS-37), le . D'une masse de près de , il est à l'époque le satellite destiné à l'astrophysique le plus lourd jamais lancé.
Astrophysique des hautes énergiesL’astrophysique des hautes énergies est une branche de l'astrophysique traitant de l'observation du ciel par des messagers de hautes énergies qui sont les rayons X, les rayons gamma, les rayons cosmiques, les neutrinos et les ondes gravitationnelles. Elle étudie notamment les objets et phénomènes astrophysiques tels que les trous noirs, naines blanches, pulsars, novae, quasars, microquasars, galaxies de Seyfert, sursauts gamma... Rayonnement cosmique L'astronomie à haute énergie est marquée par la découverte du rayonnement cosmique au début du grâce à l'utilisation de ballon-sonde.
Spallation des rayons cosmiquesLa spallation des rayons cosmiques est un mécanisme de nucléosynthèse où la grande énergie cinétique des rayons cosmiques (essentiellement des protons) brise des nucléides croisant leur trajectoire et en forment de nouveaux (généralement de masse atomique plus petite). La présence des éléments légers tels que le lithium (dont un petit pourcentage s'est formé au cours de la nucléosynthèse primordiale), le béryllium et le bore, fut longtemps une énigme pour les astrophysiciens étant donné que la nucléosynthèse primordiale et les réactions nucléaires du cœur des étoiles sont plus propices à les détruire qu'à les synthétiser.
Astronomie multimessagerLastronomie multimessager est l'astronomie basée sur l'enregistrement et l'interprétation simultanés de divers signaux en provenance de l'espace. Les quatre signaux messagers sont : les rayonnements électromagnétiques, les ondes gravitationnelles, les rayonnements cosmiques et les particules, notamment les neutrinos, ainsi que les électrons, les protons, les neutrons, entre autres. Ils sont créés par différents processus astrophysiques, et permettent d'acquérir différentes informations sur les sources où ils se produisent.
Loi de ZipfLa loi de Zipf est une observation empirique concernant la fréquence des mots dans un texte. Elle a pris le nom de son auteur, George Kingsley Zipf (1902-1950). Cette loi a d'abord été formulée par Jean-Baptiste Estoup et a été par la suite démontrée à partir de formules de Shannon par Benoît Mandelbrot. Elle est parfois utilisée en dehors de ce contexte, par exemple au sujet de la taille et du nombre des villes dans chaque pays, lorsque cette loi semble mieux répondre aux chiffres que la distribution de Pareto.