History of the metre

The history of the metre starts with the Scientific Revolution that is considered to have begun with Nicolaus Copernicus's publication of De revolutionibus orbium coelestium in 1543. Increasingly accurate measurements were required, and scientists looked for measures that were universal and could be based on natural phenomena rather than royal decree or physical prototypes. Rather than the various complex systems of subdivision then in use, they also preferred a decimal system to ease their calculations. With the French Revolution (1789) came a desire to replace many features of the Ancien Régime, including the traditional units of measure. As a base unit of length, many scientists had favoured the seconds pendulum (a pendulum with a half-period of one second) one century earlier, but this was rejected as it had been discovered that this length varied from place to place with local gravity. A new unit of length, the metre was introduced – defined as one ten-millionth of the shortest distance from the North Pole to the equator passing through Paris, assuming an Earth flattening of 1/334. For practical purposes however, the standard metre was made available in the form of a platinum bar held in Paris. This in turn was replaced in 1889 at the initiative of the International Geodetic Association by thirty platinum-iridium bars kept across the globe. The comparison of the new prototypes of the metre with each other and with the Committee metre (French: Mètre des Archives) involved the development of specialized measuring equipment and the definition of a reproducible temperature scale. Progress in science finally allowed the definition of the metre to be dematerialized; thus in 1960 a new definition based on a specific number of wavelengths of light from a specific transition in krypton-86 allowed the standard to be universally available by measurement. In 1983 this was updated to a length defined in terms of the speed of light; this definition was reworded in 2019: The metre, symbol m, is the SI unit of length.

Entre terre et lac : une extension évolutive du Chantier Naval de Bellerive

Le projet est considéré comme une extension du chantier naval de Bellerive, construit à la suite à l’Exposition nationale de Lausanne en 1964. Ce site, qui a une vie propre au fil des saisons, est aussi utilisé de manière temporaire lors de divers événements organisés, principalement en période estivale, sur le terrain vague et le parking qui bordent le chantier naval. Le projet a pour objectif de redynamiser cette zone durant toute l’année en ajoutant des programmes qui répondent à la demande des employés de la Compagnie générale de navigation (CGN) et qui soient à même d’accueillir des activités publiques temporaires. Partant du constat que la parcelle en question est une entité artificielle, un terrain gagné sur l’eau par remblayage, le projet agit comme l’interface qui connecte ces deux milieux. Pour lier cette « caractéristique identitaire » tout en valorisant la CGN, le projet propose une promenade qui part de la terre pour rejoindre le lac en passant entre les façades existantes et l’extension ajoutée. Les volumes créés répondent à ceux déjà existants tout en générant des entre-deux spécifiques de « l’atmosphère » de la CGN. Le projet entend ainsi mettre en valeur le fort caractère artisanal du site – les savoir-faire historiques de la restauration et de la construction des bateaux du Léman – et donner à contempler le grand paysage que forment le lac et les montagnes au loin.

2023

Entre terre et lac : une extension évolutive du Chantier Naval de Bellerive

Passerelle piétonne en bois Etoy - Allaman

Entre terre et lac : une extension évolutive du Chantier Naval de Bellerive

Passerelle piétonne en bois Etoy - Allaman