Grande Armée | EPFL Graph Search

; ɡʀɑ̃d aʀme) was the main military component of the French Imperial Army commanded by Emperor Napoleon Bonaparte during the Napoleonic Wars. From 1804 to 1808, it won a series of military victories that allowed the French Empire to exercise unprecedented control over most of Europe. Widely acknowledged to be one of the greatest fighting forces ever assembled, it suffered enormous losses during the disastrous invasion of Russia in 1812, after which it never recovered its strategic superiority. The Grande Armée was formed in 1804 from the L'Armée des côtes de l'Océan (Army of the Ocean Coasts), a force of over 100,000 men that Napoleon had assembled for the proposed invasion of Britain. Napoleon later deployed the army in eastern Europe to eliminate the combined threat of Austria and Russia, which were part of the Third Coalition formed against France. Thereafter, the Grande Armée was the principal military force deployed in the campaigns of 1806/7, the French invasion of Spain, and 1809, where it earned its prestige, and in the conflicts of 1812, 1813–14, and 1815. In practice, however, the term Grande Armée is used in English to refer to all the multinational forces gathered by Napoleon in his campaigns. In addition to its size and multinational composition, the Grande Armée was known for its innovative formations, tactics, logistics, and communications. While most contingents were commanded by French generals, except for the Polish and Austrian corps, soldiers could climb the ranks regardless of class, wealth, or national origin. Upon its formation, the Grande Armée consisted of six corps under the command of Napoleon's marshals and senior generals. When the Austrian and Russian armies began preparations to invade France in late 1805, the Grande Armée was quickly ordered across the Rhine into southern Germany, leading to Napoleon's victories at Ulm and Austerlitz.

Effets potentiels d'une offre commerciale étoffée à Paris-Austerlitz sur les dynamiques locales du commerce

Emmanuel Pierre Jean Ravalet, Marc Antoine Messer

Le présent rapport est l’aboutissement d’une recherche menée entre décembre 2018 et janvier 2019 visant à déterminer les effets potentiels sur les dynamiques commerciales locales du projet gare de Paris-Austerlitz 2024. La rénovation de la gare vise à moderniser et à redéployer la « plus petite des grandes » gares parisiennes. Au-delà de la rénovation de la gare, c’est la création d’un véritable quartier d’affaires qui est attendu, sur le flanc ouest du faisceau ferré, du côté de l’hôpital. La création de ce quartier ainsi que la rénovation de la gare vont avoir pour effet principal de reconnecter Paris-Austerlitz à son environnement proche et créer une centralité nouvelle à l’échelle du quartier. Le projet de rénovation va également offrir sur site une large gamme de services et de commerces, et il est donc légitime de questionner les impacts que cette nouvelle offre va engendrer sur les dynamiques locales du commerce et des services.

2019

Là-haut. Un centre de retraite scientifique à Isérables (VS)

Mathieu Maréchal

«Pendant ces vingt minutes de marche en direction du massif du Mont Fort, les vallons ont rythmé mon ascension. Le chemin m’a fait traverser vergers, terrassements, fermes d’alpage et m’a dévoilé d’un seul coup un hameau perché sur la crête d’une énième saillie de la montagne.» Auxine Heimat En développant le thème de l’ascension en tant qu’approche architecturale, le but est d’intégrer au site les sensibilités de l’utilisateur liées à son parcours. Le projet se rattache à un ensemble existant de raccards au lieu-dit Le Cotayer, en bordure du village d’Isérables. Là-haut, il a pour objectif de donner une qualité nouvelle à un site qui se trouve actuellement en marge de la vie quotidienne afin de le reconnecter à un imaginaire collectif. Ce projet se veut lieu de rencontre entre les mondes de la plaine et de la montagne; il vise à offrir un cadre de travail et d’hébergement singulier pour scientifiques. Dans ce contexte, la question de la confrontation entre l’ancien et le nouveau se trouve au cœur de l’approche architecturale et le projet prend le parti de l’analogie pour sublimer l’expérience historique. Entre le socle en béton et les volumes boisés, l’ensemble construit est découvert à travers un parcours qui met en valeur relations, dégagements et perspectives. Alors, les nouvelles constructions participent, en dialogue avec les raccards, à la démarcation d’une ligne continue entre le minéral et le bois; une mise en exergue de l’effort nécessaire aux constructions en pente.

2018