La Grande Armée est l'armée impériale de Napoléon de 1804 à 1814 et enfin pendant l'épisode des Cent-Jours en 1815. Napoléon en occupe personnellement la tête. Napoléon organise la levée de durant le Consulat et plus de 2 millions de soldats durant l'Empire, soit 36 % des mobilisables et 7 % de la population totale (un siècle plus tard, la Première Guerre mondiale mobilise 8 millions d'hommes et 20 % de la population totale).
Habile propagandiste, Napoléon a forgé le mythe des grognards (surnom que se donnent les soldats de la Grande Armée qui ne cessent de se plaindre de leurs conditions de vie mais qui sont stimulés par l'appétit de gloire et de reconnaissance sociale) avec lesquels il a créé un lien quasi-mystique, .
vignette|Chez les grenadiers de la Vieille Garde, le port de la moustache, des favoris en crosse de pistolet, des cheveux longs portés en cadenettes avec la queue, et d'un anneau d'or à l'oreille, contribue à leur donner cette silhouette de grognard.
Campagne d'Allemagne (1805)
Voulant envahir l'Angleterre à la suite de la rupture de la paix d'Amiens, Napoléon reconstitua l'armée des côtes de l'Océan et l'installa au camp de Boulogne en 1804. La coalition formée par l'Angleterre, l'Autriche et la Russie changea les plans de ce débarquement et Napoléon décida que pour affronter cette troisième coalition, il fallait envoyer son armée de conscription vers l'Autriche. La première citation de l'appellation « Grande Armée » apparut dans une lettre de l'empereur au maréchal Berthier le , jour où Napoléon leva le camp de Boulogne pour emmener ses hommes vers le Rhin.
Les bulletins qui racontaient les exploits de cette armée lors des batailles d'Ulm et d'Austerlitz s'appelaient le Bulletin de la Grande Armée diffusé dans toute la France, popularisant le terme de « Grande Armée ».
Elle comportait au départ sept corps d'armée (surnommés « les sept torrents » commandés par les maréchaux Bernadotte, Davout, Soult, Lannes, Ney et Augereau et par le général Marmont) qui s'illustrèrent lors des campagnes de 1805, 1806 et 1807 (ils sont rejoints le par le sous Mortier et le – composé des alliés bavarois, badois et wurtembergeois de la France – sous le prince Jérôme Bonaparte, en 1807 par le sous Lefebvre).
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La Grande Armée est l'armée impériale de Napoléon de 1804 à 1814 et enfin pendant l'épisode des Cent-Jours en 1815. Napoléon en occupe personnellement la tête. Napoléon organise la levée de durant le Consulat et plus de 2 millions de soldats durant l'Empire, soit 36 % des mobilisables et 7 % de la population totale (un siècle plus tard, la Première Guerre mondiale mobilise 8 millions d'hommes et 20 % de la population totale).
La campagne de Russie, également connue en Russie comme la guerre patriotique de 1812, est une campagne militaire menée par l’empereur Napoléon désignant l'invasion française de la Russie impériale en 1812. Elle a pour principale cause la levée par Alexandre de Russie du blocus continental imposé par Napoléon à toute l'Europe depuis 1806, contre le Royaume-Uni. Jusqu’à la prise de Moscou, face à une armée impériale russe inférieure en nombre au début de l’invasion, l’avantage est aux forces napoléoniennes.
La bataille de Leipzig, les 16 et , appelée à cette époque bataille de Leipsick, aussi connue comme la « bataille des Nations », est une des plus importantes qui ait été livrée au cours des guerres napoléoniennes. Après l'échec catastrophique de la campagne de Russie de 1812, elle oppose une Grande Armée en partie reconstituée aux forces de la Russie, mais aussi de la Prusse, de l'Autriche et de la Suède qui ont rejoint la Sixième Coalition contre Napoléon.
La diminution de l'exploitation par l'Armée Suisse de l'aérodrome d'Emmen (LU) a provoqué des réflexions politiques sur l'utilisation civile conjointe à celle de l'Armée. Le projet reprend l'idée, pub
La ville de Florence, après la décision politique d'accueillir la capitale italienne de 1865, a subi une série de renouvellements urbains dessinés par Giuseppe Poggi. Ces interventions dessinées pour