Demographics of France | EPFL Graph Search

The demography of France is monitored by the Institut national d'études démographiques (INED) and the Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). As of 1 January 2021, 65,250,000 people lived in Metropolitan France, while 2,785,000 lived in overseas France, for a total of 68,035,000 inhabitants in the French Republic. In March 2017, the population of France officially reached the 67,000,000 mark. It had reached 66,000,000 in early 2014. Between the years 2010–17, the population of France grew from 64,613,000 to 66,991,000 (i.e. about 2.4 million people in a span of 7 years), making France one of the fastest-growing countries in Europe. The population of France is growing by 1,000,000 people every three years- an average annual increase of 340,000 people, or +0.6%. France was historically Europe's most populous country. During the Middle Ages, more than one-quarter of Europe's total population was French; by the seventeenth century, this had decreased slightly to one-fifth. By the beginning of the nineteen century, other European countries, such as Germany and Russia, had caught up with France and overtaken it in number of people. However, the country's population sharply increased with the baby boom following World War II. According to INSEE, since 2004, 200,000 immigrants entered the country annually. One out of two was born in Europe and one in three in Africa. Between 2009 and 2012, the number of Europeans entering France increased sharply (plus 12% per year on average), but would steadily decline by 2022, as more Africans began entering France. The national birth rate, after dropping for a time, began to rebound in the 1990s and currently the country's fertility rate is close to the replacement level. According to a 2006 INSEE study, "the natural increase is close to 300,000 people, a level that has not been reached in more than thirty years." With a total fertility rate of 1.83 in 2020, France however remains the most fertile country in the European Union.

Le site industriel du Closel à Renens

Lucien Arnaud Favre

En 1963, les Imprimeries Réunies de Lausanne et l'atelier de reliure Mayer ; Soutter mandatent Jean-Marc Lamunière pour construire leurs nouveaux locaux de production sur un terrain industriel bordant les voies de chemin de fer à Renens. L'architecte arrange deux bâtiments de structure identique, de chaque côté d'une voie de desserte ferroviaire. Cinquante ans plus tard, l'industrie délaisse ce patrimoine bâti au plein cœur de l'évolution urbaine. L'enjeu du projet consiste à pérenniser la substance historique et matérielle du site en accueillant une activité adaptée aux bâtiments, à leur structure et à leur situation urbaine. Reloger les infrastructures de test de la Section de Génie Civil de l'EPFL, en manque de place sur le campus d'Ecublens, paraît alors un programme particulièrement approprié. Deux stratégies d'intervention sont alors définies pour répondre au mieux à l'évolution différenciée des bâtiments depuis les années 1960. Le bâtiment remarquablement conservé de Mayer ; Soutter, au Nord du site, abrite les petites halles de test ainsi que des bureaux et ateliers et utilise la démontabilité des planchers comme processus d'adaptation spatiale tandis que le bâtiment des Imprimeries Réunie, sujet à des transformations successives, se voit proposer une extension contenant la halle d'essai principale. Le socle sur lequel reposent les bâtiments est retravaillé pour s'affirmer comme espace de rencontre et entrée du nouveau campus.

2015

Simulation de la distribution des gaz dans une pile à combustible de type SOFC

Kévin Rosset

Afin de diminuer les coûts en temps et en ressources informatiques que représente la simulation de la dynamique des fluides dans une pile à combustible, des scripts Matlab basés sur l’analogie entre les circuits électriques et hydrauliques sont implémentés. L’objectif de détermination de la distribution de l’écoulement dans un élément de pile intact puis déformé aléatoirement mène à modéliser le réseau hydraulique par un ensemble de « résistances hydrauliques », dont certaines « virtuelles », tout en considérant les différents régimes d’écoulement laminaires et turbulents. L’utilisation de processus itératifs est alors motivée par le choix d’une linéarisation des équations dans le cas turbulent. La représentation du réseau sous forme d’un agrégat de nœuds et de liens permet de l’implémenter au travers d’une matrice de connectivité. Celle-ci est utilisée lors de l’écriture des lois des nœuds et des mailles appliquées aux circuits hydrauliques, qui permettent alors de résoudre des systèmes d’équations linéairement indépendantes. Une fois fonctionnels, les scripts donnent, dans le cas laminaire comme dans le cas turbulent, des résultats mathématiquement corrects. Ils permettent ainsi d’analyser la variation de la distribution de l’écoulement induite par la variation aléatoire des dimensions des canaux du réseau. De part les hypothèses émises quant à l’écoulement et les simplifications effectuées lors de la modélisation du réseau hydraulique, l’exactitude physique des résultats, bien que ceux-ci semblent cohérents, reste encore à prouver.

2011

Un gymnase à Aigle dans le Chablais: architecture pédagogique

Isaline Moullet

La région du Chablais vaudois est en constante évolution démographique depuis une dizaine d'années. Elle nécessite dès lors un développement de toutes les infrastructures publiques offertes aux habitants à commencer par les équipements scolaires qui doivent accueillir de plus en plus d'enfants. A la fin de la scolarité obligatoire, les jeunes chablaisiens (-iennes) qui désirent poursuivre des études post-obligatoire comme le gymnase (école de maturité ou de diplôme) sont dirigés vers le Gymnase de Burier, situé sur le territoire de la commune de la Tour-de-Peilz (entre Montreux et Vevey). Ce Gymnase est déjà en surpopulation et se trouve relativement éloigné de certaines communes du Chablais vaudois. L'implantation d'un nouveau gymnase permettrait de répondre à cette problématique qui devrait s'accroître ces prochaines années. Le cœur du réseau des transports publics desservant les communes du Chablais se situe à la gare d'Aigle. De ce fait, cette commune a été choisie pour l'élaboration d'un projet de gymnase. Le site se situe au centre du quartier dit « de la Planchette » a environ 600 mètres de la gare. Aujourd'hui plus du quart de la population Aiglonne y habite, répartie dans une quarantaine d'immeubles locatifs. Ce quartier comporte déjà une école enfantine, une école primaire ainsi que des équipements sportifs qui seront mis en relation avec le gymnase projeté. Une telle réalisation aura également pour effet de valoriser la ville, chef lieu du district d'Aigle.

2009