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Ingénierie et technologie spatiale

Résumé
thumb|upright=1.6|Ingénieurs de la NASA pendant la mission Apollo 13 L'ingénierie et technologie spatiale désigne l'ensemble des fonctions concernant la conception, la construction, l'envoi dans l'espace et le contrôle ultérieur des véhicules spatiaux et des installations terrestres associées. Il s'agit d'un cas particulier d'ingénierie employé dans l'industrie spatiale. Puisqu'ils se déplacent dans l'espace, les véhicules spatiaux doivent subir des conditions éprouvantes : des forts gradients de température et de pression, de fortes contraintes structurales, des vibrations. Afin de permettre la survie de ces véhicules tout en leur permettant de remplir leur mission, les ingénieurs spatiaux doivent prendre en compte un grand nombre de domaines différents, comme la mécanique des structures, la propulsion, la thermique, la mécanique spatiale. La connaissance de l'ensemble de ces domaines et leur coordination afin de concevoir des véhicules spatiaux constitue l'ingénierie spatiale. La grande diversité des domaines scientifiques pertinents rend difficile la conception entière d'un véhicule par un ingénieur ; le plus souvent, c'est une équipe composée de divers spécialistes et d'ingénieurs qui coordonne leur action qui s'en charge. La conception et la fabrication d'un tel engin est donc un compromis entre les développements techniques, les coûts, les performances, la fiabilité des divers sous-systèmes. Voici une liste non exhaustive des diverses sciences et sciences de l'ingénieur qui interviennent en ingénierie spatiale. Il s'agit de voir que chacune de ces composantes, qui rencontre ses propres difficultés et qui cherche à optimiser l'engin spatial de son point de vue, influence directement les autres. L'ensemble de ces disciplines induit divers sous-systèmes dans les véhicules spatiaux ; voir par exemple l'article véhicule spatial. La mécanique des fluides : pour l'étude de l'atmosphère, qui peut avoir une influence en cas de rentrée atmosphérique ou de satellite en orbite basse. Comme dans les cas précédents, il s'agit souvent d'aérodynamique.
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