Génération de code natifLa génération de code natif est l'étape du processus de compilation transformant l'arbre syntaxique abstrait enrichi d'informations sémantiques en code machine ou en bytecode spécialisé pour la plateforme cible. C'est l'avant-dernière étape du processus de compilation qui se situe avant l'édition des liens. La phase de génération de code natif inclut généralement : Le choix des instructions à émettre ; L'ordonnancement des instructions : dans quel ordre émettre les instructions.
Rétro-ingénierieLa rétro-ingénierie, ou ingénierie inversée, est l'activité qui consiste à étudier un pour en déterminer le fonctionnement interne. On parle également de rétro-conception dans le domaine du vivant. Le terme équivalent en anglais est reverse engineering. vignette|La rétro-ingénierie. Il peut s'agir de : comprendre le fonctionnement de l'objet, pour être en mesure de l'utiliser correctement, de le modifier, ou encore de s'assurer de son bon fonctionnement, le cas échéant dans un cadre pédagogique rappellent C.
Very high-level programming languageA very high-level programming language (VHLL) is a programming language with a very high level of abstraction, used primarily as a professional programmer productivity tool. VHLLs are usually domain-specific languages, limited to a very specific application, purpose, or type of task, and they are often scripting languages (especially extension languages), controlling a specific environment. For this reason, very high-level programming languages are often referred to as goal-oriented programming languages.
Langage machineLe langage machine, ou code machine, est la suite de bits qui est interprétée par le processeur d'un ordinateur exécutant un programme informatique. C'est le langage natif d'un processeur, c'est-à-dire le seul qu'il puisse traiter. Il est composé d'instructions et de données à traiter codées en binaire. Chaque processeur possède un langage machine. Si un processeur A est capable d'exécuter toutes les instructions du processeur B, on dit que A est compatible avec B.
Portage informatiqueLe portage informatique consiste à porter, c'est-à-dire mettre en œuvre, un logiciel, une fonctionnalité, voire un système d'exploitation dans un autre environnement que celui d'origine. Cet environnement est donc soit logiciel, soit matériel. La portabilité d'un code source est sa qualité d'être aisément porté. Le portage informatique revient souvent à reprendre le code source du composant existant dans son environnement initial, puis à lui apporter les modifications nécessaires pour qu'il puisse fonctionner sur la plate-forme de destination.
Extension inlineEn informatique, l'extension inline, ou inlining, est une optimisation d'un compilateur qui remplace un appel de fonction par le code de cette fonction. Cette optimisation vise à réduire le temps d'exécution ainsi que la consommation mémoire. Toutefois, l'extension inline peut augmenter la taille du programme (par la répétition du code d'une fonction). Certains langages (par exemple le C ou le C++) ont un mot clé inline attachable à la définition d'une fonction. Ce mot clé indique au compilateur qu'il devrait essayer d'étendre cette fonction.
Fichier exécutableEn informatique et en technologies de l'information, un fichier exécutable, parfois (par métonymie) un programme, ou simplement un exécutable est un fichier contenant un programme et identifié par le système d'exploitation en tant que tel. Le chargement d'un tel fichier entraîne la création d'un processus dans le système, et l'exécution du programme, par opposition au fichier de données qui doit d'abord être interprété par un programme pour prendre sens.
Code automodifiableUn code automodifiable est, en programmation informatique, un programme qui peut se modifier lui-même, c’est-à-dire appeler des routines, fonctions ou méthodes qui seront créées par le programme lui-même. En dehors de l'idée, qui relève pour le moment de la fiction, d'un robot qui modifierait lui-même sa finalité, l'utilisation la plus courante du code automodifiable est l'optimisation de la vitesse d'exécution d'un programme : par exemple un interpréteur peut analyser le code source qu'il est en train d'exécuter, se rendre compte qu'une fonction est appelée fréquemment, et en réaliser à la volée une version compilée, qui sera exécutée plus rapidement.
Bloc de baseEn informatique, un bloc de base est une portion du code source d'un programme caractérisé par certaines propriétés utiles qui le rendent facile à analyser. Les compilateurs décomposent la plupart du temps les programmes en leurs blocs de base dans une première étape du processus d'analyse. Les blocs de base forment les nœuds d'un graphe de flot de contrôle.
Translation de codeEn informatique, la translation de code est une technique d'émulation consistant à traduire (de l'anglais « to translate », traduire) le jeu d'instructions d'une architecture source vers le jeu d'instructions d'une architecture destination. On distingue deux types de translation de code : la translation statique, dans ce cas un fichier exécutable de la machine source est intégralement traduit en un fichier exécutable de la machine destination ; la translation dynamique (ou compilation à la volée), dans ce cas les instructions de la machine source sont traduites en instructions de la machine cible au moment même de leur exécution.