G-parityIn particle physics, G-parity is a multiplicative quantum number that results from the generalization of C-parity to multiplets of particles. C-parity applies only to neutral systems; in the pion triplet, only π0 has C-parity. On the other hand, strong interaction does not see electrical charge, so it cannot distinguish amongst π+, π0 and π−. We can generalize the C-parity so it applies to all charge states of a given multiplet: where ηG = ±1 are the eigenvalues of G-parity.
Chiral anomalyIn theoretical physics, a chiral anomaly is the anomalous nonconservation of a chiral current. In everyday terms, it is equivalent to a sealed box that contained equal numbers of left and right-handed bolts, but when opened was found to have more left than right, or vice versa. Such events are expected to be prohibited according to classical conservation laws, but it is known there must be ways they can be broken, because we have evidence of charge–parity non-conservation ("CP violation").
Electron scatteringElectron scattering occurs when electrons are displaced from their original trajectory. This is due to the electrostatic forces within matter interaction or, if an external magnetic field is present, the electron may be deflected by the Lorentz force. This scattering typically happens with solids such as metals, semiconductors and insulators; and is a limiting factor in integrated circuits and transistors.
Tau (particule)Le tau (également appelé lepton tau ou tauon) est une particule élémentaire de la famille des leptons, de masse . Il est symbolisé par τ−. Découvert en 1976 par le Physicien Martin Lewis Perl, ses propriétés sont proches de celles de l'électron et du muon, mais il est plus massif et de faible durée de vie. Avec son neutrino associé et les quarks top (t) et bottom (b), il forme la troisième génération (la plus massive) de fermions dans le modèle standard. Son antiparticule est l'antitau (τ+).
AxionL’axion est une particule hypothétique, supposée stable, neutre et de très faible masse (entre quelques μeV et quelques meV). Son existence découle de la (1977) au problème de violation de la symétrie CP en chromodynamique quantique, située au CERN, mais aussi ADMX et beaucoup d'autres. Comme l'a montré Gerard 't Hooft, la chromodynamique quantique prédit que quelques interactions fortes violeront la symétrie charge+parité.
Interaction faiblethumb|right|330px|L'interaction faible déclenche la nucléosynthèse dans les étoiles. L'interaction faible (aussi appelée force faible et parfois force nucléaire faible) est l'une des quatre interactions fondamentales de la nature, les trois autres étant les interactions électromagnétique, forte et gravitationnelle. Elle est responsable de la désintégration radioactive de particules subatomiques et est à l'origine de la fusion nucléaire dans les étoiles.
Weakly interacting massive particlesEn astrophysique, les WIMPs (acronyme anglais pour Weakly Interacting Massive Particles, pouvant se traduire par « particules massives interagissant faiblement ») sont des particules hypothétiques constituant une solution au problème de la matière noire. En dehors des interactions gravitationnelles, ces particules interagissent très faiblement avec la matière ordinaire (nucléons, électrons), leur section efficace d'interaction est de l'ordre du picobarn.
Event generatorEvent generators are software libraries that generate simulated high-energy particle physics events. They randomly generate events as those produced in particle accelerators, collider experiments or the early universe. Events come in different types called processes as discussed in the Automatic calculation of particle interaction or decay article.
Annihilation (physique)En physique, l’annihilation ou anéantissement correspond à la collision entre une particule sous-atomique et son antiparticule respective. Puisque l’énergie et la quantité de mouvement doivent être conservées, les particules ne se muent pas en rien, mais plutôt en nouvelles particules. Les antiparticules possèdent des nombres quantiques exactement opposés à ceux des particules, donc la somme des nombres quantiques du pair égale zéro.
PartonEn physique des particules, le modèle des partons a été proposé par Richard Feynman en 1969 pour décrire la structure des hadrons et modéliser les interactions avec les hadrons à haute énergie. Par la suite, les partons décrits dans ce modèle ont été identifiés aux quarks et aux gluons. cadre|Une particule diffuse sur un hadron à basse (schéma du haut) et à haute (schéma du bas) énergie. À basse énergie seuls les partons de valence peuvent interagir avec la particule.