Les sciences des religions sont un domaine des sciences humaines et sociales. L'expression est généralement usitée au pluriel. Il n'existe pas à proprement parler « une » science des religions, mais des approches pluridisciplinaires du religieux en sociologie, anthropologie, psychologie, philosophie, art et littérature, etc.
Les sciences religieuses sont les diverses sciences appliquées aux religions dans une option non théologique : philologie, linguistique, histoire littéraire, exégèse, sociologie, anthropologie, archéologie, etc.
La locution apparait en France en ce sens en 1885 avec la création de la cinquième section de l'école pratique des hautes études.
C'est l'histoire des religions qui est à l'origine d'un intérêt objectivant des traditions religieuses, et d'une certaine façon constitue la discipline mère de la tradition comparatiste des religions. La mise à distance historique a permis de traiter la diversité des faits religieux comme une réalité non polémique. Évitant toute folklorisation du religieux, d'autres disciplines analysent le fait religieux comme une réalité vivante spécifique, à la fois englobée et distincte des cultural studies.
La sociologie des religions est l'une des branches des sciences religieuses. Elle étudie aussi bien les aspects quantitatifs (comme la géographie) que la phénoménologie des religions (comme l'anthropologie le fait dans les sociétés premières). Elle n'a de rapports avec la théologie que pour éclairer la compréhension de certaines manifestations phénoménologiques.
Le droit et les sciences politiques peuvent également être associés aux sciences des religions lorsqu'il s'agit d'étudier comment les sociétés régulent, de façon très diverses, le fait religieux, allant du statut des institutions et des communautés croyantes à celui des exceptions de consciences individuelles voire des accommodements raisonnables.
Enfin, est posée la question de la place en sciences des religions d'une approche de théologies comparées, apte à élucider les invariants ou les singularités herméneutiques à l'interne de chaque tradition.
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In some forms of Christianity the intermediate state or interim state is a person's existence between death and the universal resurrection. In addition, there are beliefs in a particular judgment right after death and a general judgment or last judgment after the resurrection. Early Christians looked for an imminent end of the world and many of them had little interest in an interim state between death and resurrection.
La vie après la mort, aussi appelée laprès-vie, lexistence post-mortem, loutre-tombe, la vie dans l'au-delà, la vie éternelle est l'hypothèse de la survivance de l'esprit, de l'âme ou de la conscience d'un être vivant après la mort. Les concepts d'esprit et de conscience font l'objet de controverses et la position scientifique majoritaire est qu'il n'existe pas de preuve de l'existence d'une vie après la mort. L'étude religieuse du destin de l'âme après la mort s'appelle (du ἔσχατος / Eschatos, en français « dernier » et logos « parole »).
thumb|L'Immortalité devançant le Temps, sculpture allégorique de Georges Récipon en 1900, des toits du Grand Palais de Paris. L'immortalité ou la vie prolongée ad libitum implique la notion de forme de vie ou au moins de pensée échappant à la mort, ou de vie après la mort, physique et / ou spirituel des esprits et des âmes (problème corps-esprit), d'ordre naturelle, divine, allégorique, de mémoire, ou autre...
Explore l'intersection entre le transhumanisme et la religion, en discutant de l'évolution du mouvement transhumaniste et de son potentiel en tant que religion laïque.
vignette|Les symboles des trois religions abrahamiques, christianisme, islam et judaïsme. Les religions abrahamiques sont les trois groupes de religions monothéistes, judaïsme, christianisme et islam, en ce qu'elles revendiquent l'héritage d'Abraham. En français, cette expression est apparue vers 1950 dans des études d'islamologie pour désigner la religion d'Abraham telle que l'Islam la conçoit et suppose qu'elle est le noyau commun avec le judaïsme et le christianisme.
Le mot foi vient du latin fides qui signifie « confiance ». La foi désigne étymologiquement le fait d'avoir confiance en quelque chose ou quelqu'un. Il s'agit d'un concept philosophique, mais de façon élargie ce terme rejoint également la notion de croyance, quand il est relatif à des religions. En général, s'intéresser à la foi, revient à juger authentiques certains évènements. Il s'agit d'une assurance valable qui permet de constituer une garantie.
L'ontologie est une branche de la philosophie et plus spécifiquement de la métaphysique qui, dans son sens le plus général, s'interroge sur la signification du mot « être ». est une question considérée comme inaugurale, c'est-à-dire première dans le temps et première dans l'ordre de la connaissance. Elle est celle des premiers penseurs de la Grèce antique, tels Parménide et Platon. Elle déborde très largement le strict cadre de la métaphysique qui, née chez Aristote, étudie les différentes modalités et propriétés de l'être (ne posant déjà plus de problème en soi), avec quoi on a tendance à la confondre.
In 1950 Luigi Figini travelled to Ibiza. He named this journey a “love pilgrimage” to the most western of the “isole beate” (holy islands), to one of the earthly paradises of white architecture. It wasn’t the first such island he had visited since he has a ...
T6) Ediciones - Escuela Tecnica Superior de Arquitectura. Universidad de Navarra2010