thumb|upright=1.0|« Trumna dla rybaków », un « cercueil pour les pêcheurs », un signe visible sur les flancs de certains bateaux de pêche polonais pour protester contre l'interdiction de pêcher la morue.
thumb|upright=1.0|Affiche contre l'Union européenne à Athènes en 2005.
thumb|upright=1.2|Une protestation multilingue à la Constitution européenne.
thumb|upright=1.0|Un exemple d'action eurosceptique, un drapeau de l'UE vandalisé à Sopot en Pologne.
L’euroscepticisme est une attitude critique à l'égard de l'intégration européenne et à l'Union européenne basée notamment sur un doute quant à sa viabilité ou son utilité. De manière encore plus prononcée que les pro-européens, les eurosceptiques ne constituent pas un bloc homogène mais comprennent les « mouvements d’opposition à la construction européenne ». Selon Agnès Alexandre-Collier ce terme est ambigu, allant « de la simple suspicion à l’opposition militante en passant par l’hostilité passive, soulignant que l’euroscepticisme revêt autant de formes qu’il existe de motifs de désapprobation ».
On peut parler également d’europhobie ou d’anti-européanisme pour désigner une opposition franche à l'Union européenne ou à l'intégration européenne, parfois marquée par la volonté de remettre celle-ci en cause, par exemple dans le cadre de projets tels que le Brexit au Royaume-Uni ou le Frexit en France.
Les eurosceptiques s'opposent aux "pro-européens" (partisans du modèle actuel, voire d'une intégration européenne plus accrue, par exemple, le fédéralisme européen) et se différencient des eurocritiques (partisans d'une construction européenne mais sur un autre modèle, par exemple, une Europe des nations dépourvue de transferts importants de la souveraineté nationale).
Au début du , le terme le plus utilisé pour désigner les courants s'opposant à l’unification européenne était celui d'« anti-européen ». Le terme est ainsi utilisé par Richard Coudenhove-Kalergi dans son ouvrage Paneurope, qu'il oppose à celui de « paneuropéen » ; et par Nikolaï Danilevski dans son ouvrage La Russie et l'Europe.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
L'UE vise à sensibiliser les étudiants aux enjeux d'un projet de réhabilitation. Elle se concentre sur les rapports entre les impératifs liés à la réhabilitation et à une vision architecturale élargie
L'UE vise à interroger la nature et le caractère d'un intérieur domestique, à partir de l'adoption et de l'analyse d'une représentation picturale. Le développement de l'exercice prévoit l'approfondiss
thumb|upright=1.0|« Trumna dla rybaków », un « cercueil pour les pêcheurs », un signe visible sur les flancs de certains bateaux de pêche polonais pour protester contre l'interdiction de pêcher la morue. thumb|upright=1.0|Affiche contre l'Union européenne à Athènes en 2005. thumb|upright=1.2|Une protestation multilingue à la Constitution européenne. thumb|upright=1.0|Un exemple d'action eurosceptique, un drapeau de l'UE vandalisé à Sopot en Pologne.
Le populisme de droite est une idéologie politique qui combine les valeurs de la droite avec les thèmes et la rhétorique du populisme. Depuis les années 1990, plusieurs partis populistes de droite sont entrés dans les parlements nationaux (Canada, Chili, France, Israël, Norvège, Pologne, Russie, Roumanie), et ont même intégré des coalitions gouvernementales (Autriche, Pays-Bas, Danemark, Italie). Cette rhétorique est souvent constituée de sentiments anti-élitistes, antisystèmes et parlant au noms des « petites gens ».
thumb|Une caricature de 1896 dans laquelle William Jennings Bryan, un fervent partisan du populisme, avale le symbole du Parti démocrate d'Amérique. Le mot populisme désigne une approche politique qui a tendance à opposer le peuple aux élites politiques, économiques ou médiatiques. Le sentiment que le peuple est exclu de l'exercice d'un pouvoir par ailleurs coupé des réalités, même dans une démocratie représentative émanant d'élections dites démocratiques, est à l'origine du populisme de gauche et de sa variante ouvriériste, comme du populisme de droite.