Polish nationalism (Polski nacjonalizm) is a form of nationalism which asserts that the Poles are a nation and promotes the cultural unity of Poles. Norman Davies, in the context of Polish nationalism, generally defined nationalism as "a doctrine ... to create a nation by arousing people's awareness of their nationality, and to mobilize their feelings into a vehicle for political action".
The old Polish proto-nationalism of the Polish–Lithuanian Commonwealth which was based on its population's Polish-Lithuanian identity was multi-ethnic and multi-religious, though ethnic Poles still constituted the majority of the population and Roman Catholicism was still the most dominant religion inside the nation. The nationalist ideology which developed soon after the Partitions was initially free of any kind of "ethnic nationalism." It was a Romantic movement which sought the restoration of the Polish sovereign state. Polish Romantic nationalism was described by Maurycy Mochnacki as "the essence of the nation" no longer defined by borders but by ideas, feelings, and thoughts resulting from the past. The birth of modern nationalism under foreign rule was coincided with the November Uprising of 1830 and the subsequent Spring of Nations. However, the defeat suffered by the Poles also broke the Polish revolutionary spirit. Many intellectuals turned to social Darwinism of Herbert Spencer, blaming the Romantic philosophy for the loss of their property, mass destruction, and ultimately the loss of the nation. With the advent of Positivism between 1860 and 1890 Polish nationalism became an elitist cause. Because the partitioning powers could not have identified themselves with the Polish nation, the ideology became more restrictive in terms of ethnicity and religion.
The earliest manifestations of Polish nationalism, and conscious discussions of what it means to be a citizen of the Polish nation, can be traced back to the 17th or 18th century, with some scholars going as far back as the 13th century, and others to the 16th century.
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Les territoires recouvrés, ou « terres reconquises » (Ziemie Odzyskane), également connus sous les noms de « Marches occidentales » (Kresy Zachodnie), « Territoires de l'Ouest et du Nord » (Ziemie Zachodnie i Północne), « Territoires postulés » (Ziemie Postulowane) ou encore les « Territoires rendus » (Ziemie Powracające), sont d'anciens territoires de l'Est de l'Allemagne et la ville libre de Dantzig qui sont devenues une partie de la Pologne après la Seconde Guerre mondiale, et dont les anciens habitants
L'histoire de la Pologne commence au , sous le règne de et de la dynastie Piast. C'est sous son règne que les souverains polonais se convertissent au christianisme. La Pologne devient rapidement au Moyen Âge une puissance régionale, tout en essayant régulièrement de sortir de l'influence du Saint-Empire romain germanique et de repousser le Drang nach Osten. C'est ainsi qu'à partir du , le royaume de Pologne doit lutter contre les Chevaliers Teutoniques qui ont colonisé la Prusse et une partie de la Poméranie.
La polonisation (en polonizacja) désigne le processus d'acquisition ou d'imposition d'éléments de la culture polonaise, en particulier la langue polonaise. Ce processus s'est produit à certaines périodes historiques parmi les populations non polonaises des territoires contrôlés par ou sous l'influence substantielle de la Pologne. Comme dans d'autres cas d'assimilation culturelle, la polonisation peut être volontaire ou forcée ; elle est en tous cas plus visible dans le cas des territoires où la langue ou la culture polonaise étaient dominantes et/ou où leur adoption pouvait entraîner un prestige ou un statut social accru, comme ce fut le cas pour la noblesse de Ruthénie et de Lituanie.