Nuclear peace is a theory of international relations which argues that the presence of nuclear weapons may in some circumstances decrease the risk of crisis escalation, since parties will seek to avoid situations that could lead to the use of nuclear weapons. Proponents of nuclear peace theory therefore believe that controlled nuclear proliferation may be beneficial for global stability. Critics argue that nuclear proliferation increases the chance of nuclear war through either deliberate or in-deliberate use of nuclear weapons, as well as the likelihood of nuclear material falling into the hands of violent non-state actors.
The major debate on the issue has been between Kenneth Waltz, the founder of neorealist theory in international relations, and Scott Sagan, a leading proponent of organizational theories in international politics. Waltz generally argues that "more may be better" and contends that new nuclear states will use their acquired nuclear capabilities as nuclear deterrence and thus preserve peace. Sagan argues that "more will be worse" since new nuclear states often lack adequate organizational controls over their new weapons, which makes for a high risk of deliberate or accidental nuclear war or of theft of nuclear material by terrorists to perpetrate nuclear terrorism.
A nuclear peace results if the costs of war are unacceptably high for both sides. In a two-sided conflict in which both sides have a second-strike capability, defense becomes impossible and so it is the very prospect of fighting the war, rather than the possibility of losing it, that induces restraint.
In a condition of mutually assured destruction, there are civilian "hostages" on both sides, which facilitates cooperation by acting as an informal mechanism of contract enforcement between states. There are economic equivalents of such informal mechanisms used to effect credible commitment; for example, corporations use "hostages" in the form of initial setup costs that act as collateral to deter subsidiaries and franchisees from cheating.
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Le paradoxe stabilité / instabilité est une théorie des relations internationales concernant l'effet des armes nucléaires et la destruction mutuellement assurée. Elle postule que lorsque deux pays possèdent chacun des armes nucléaires, la probabilité d'une guerre existentielle entre eux diminue considérablement, mais la probabilité de conflits mineurs ou indirects augmente. En effet, les acteurs rationnels veulent éviter les guerres nucléaires et donc ne déclenchent pas de conflits majeurs et ne permettent pas aux conflits mineurs de dégénérer en conflits majeurs.
vignette|Conséquences de l'explosion de la bombe atomique sur Hiroshima le . L’équilibre de la terreur ou destruction mutuelle assurée (DMA, ou MAD en anglais) est une doctrine de stratégie militaire au sujet de la dissuasion nucléaire. Doctrine élaborée à l'époque de la guerre froide, d'une part par l'Union soviétique (et ses satellites au sein du Pacte de Varsovie), et d'autre part par les États-Unis (et ses alliés au sein de l'OTAN), celle-ci affirme que l'utilisation à grande échelle de l'arme nucléaire par l'un des deux protagonistes provoquerait à coup sûr la destruction des deux camps.
. La dissuasion consiste à prévenir un acte en persuadant l’acteur concerné que les coûts d’une telle action excèdent ses bénéfices. Depuis la fin de la guerre froide, la question de la légitimité et de l'efficacité de la dissuasion nucléaire est .