vignette|300x300px| Les amas de galaxies sont les plus grandes structures gravitationnellement liées connues de l'univers.
Lénergie de liaison gravitationnelle d'un système est l'énergie minimale qui doit lui être ajoutée pour que le système cesse d'être dans un état lié à la gravitation. Un système gravitationnellement lié a une énergie potentielle gravitationnelle inférieure (c'est-à-dire plus négative) que la somme des énergies de ses parties lorsqu'elles sont complètement séparées - c'est ce qui maintient le système agrégé conformément au .
Pour un corps sphérique de masse volumique uniforme, l'énergie de liaison gravitationnelle est donnée par la formule :
où est la constante gravitationnelle, est la masse de la sphère et est son rayon.
Selon le théorème du viriel, l'énergie de liaison gravitationnelle d'une étoile doit être d'environ deux fois son énergie thermique interne pour que l'équilibre hydrostatique soit maintenu. Au fur et à mesure que le gaz d'une étoile devient plus relativiste, l'énergie de liaison gravitationnelle requise pour l'équilibre hydrostatique se rapproche de zéro et l'étoile devient instable (très sensible aux perturbations), ce qui peut conduire à une supernova dans le cas d'une étoile de masse élevée en raison de fortes pression de radiation, ou à un trou noir dans le cas d'une étoile à neutrons.
L'énergie de liaison gravitationnelle d'une boule de rayon est trouvée en séparant que celle-ci couche par couche de l'extérieur vers l'intérieur et en considérant que l'épaisseur de chacune des couches est infinitésimal ().
En supposant une masse volumique constante , les masses d'une couche et de la sphère à l'intérieur sont :et
L'énergie requise pour une couche est le négatif de l'énergie potentielle gravitationnelle :L'intégration sur toutes les couches donne :
Puisque est simplement égal à la masse de l'ensemble divisée par son volume pour les objets de masse volumique uniforme, nous avons donc :En remplaçant, on obtient :
On peut lier une masse équivalente à l'énergie de liaison gravitationnelle à l'aide de la relation masse-énergie :
Cela peut être vu comme une composante de masse négative du système.
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vignette|En haut : vue d'artiste d’un trou noir supermassif absorbant la matière environnante. En bas : images supposées d'un trou noir dévorant une étoile dans la galaxie . Photo en avec le télescope Chandra à gauche ; photo optique prise par le VLT de l'ESO à droite. Un trou noir supermassif (TNSM) est un trou noir dont la masse est de l'ordre d'un million de masses solaires ou plus. Il constitue l’un des quatre types de trous noirs avec les trous noirs primordiaux, les trous noirs stellaires, les trous noirs intermédiaires.
L'équation (lire « E égale m c carré » ou « E égale m c deux ») est une formule d'équivalence entre la masse et l'énergie, rendue célèbre par Albert Einstein dans une publication en 1905 sur la relativité restreinte. Cette relation signifie qu'une particule de masse m isolée et au repos dans un référentiel possède, du fait de cette masse, une énergie E appelée énergie de masse, dont la valeur est donnée par le produit de m par le carré de la vitesse de la lumière dans le vide (c).
En physique, on appelle équilibre hydrostatique l'état de repos atteint par un système lorsque la force d'attraction gravitationnelle subie par ce système est compensée par l'action des forces de pression d'un fluide (liquide, gaz ou plasma). Par exemple, les forces de pression empêchent la pesanteur de comprimer l'atmosphère terrestre en une coquille dense ; inversement, la pesanteur empêche la pression de diffuser l'atmosphère dans l'espace.
Measurements of large-scale structure (LSS), as performed on the largest 3D map of over two million extragalactic sources from the Sloan Digital Sky Survey, together with measurements of the cosmic microwave background (CMB) anisotropies, are in complete a ...
Context. The infrared-radio correlation (IRRC) of star-forming galaxies can be used to estimate their star formation rate (SFR) based on the radio continuum luminosity at MHz-GHz frequencies. For its practical application in future deep radio surveys, it i ...
We report the discovery of a surprising binary configuration of the double-mode Cepheid OGLE-LMC-CEP-1347 pulsating in the first (P-1= 0.690 days) and second-overtone (P-2= 0.556 days) modes. The orbital period (P-orb= 59 days) of the system is five times ...