Foreign direct investment in Iran (FDI) has been hindered by unfavorable or complex operating requirements and by international sanctions, although in the early 2000s the Iranian government liberalized investment regulations. Iran ranks 62nd in the World Economic Forum's 2011 analysis of the global competitiveness of 142 countries. In 2010, Iran ranked sixth globally in attracting foreign investments.
Foreign investors have concentrated their activity in a few sectors of the economy: the oil and gas industries, vehicle manufacture, copper mining, petrochemicals, foods, and pharmaceuticals. Iran absorbed US24.3billionofforeigninvestmentfrom1993to2007andUS34.6 billion for 485 projects from 1992 to 2009.
Opening Iran's market place to foreign investment could also be a boon to competitive multinational firms operating in a variety of manufacturing and service sectors, worth 600billionto800 billion in new investment opportunities over the next decade.
Foreign trade in Iran and Foreign trade relations of Iran by country
Firms from over 50 countries have invested in Iran in the past 16 years (1992–2008), with Asia and Europe receiving the largest share, as follows:
Sectors of the Iranian economy
As of 2007, Asian entrepreneurs made the largest investments in the Islamic state by investing in 40 out of 80 projects funded by foreigners. The largest amount of foreign investment was in the industrial sector, including food and beverage, tobacco, textiles, clothing, leather, chemical, steel and oil derivates. The figure exceeded US8.76billion.Water,electricityandgassectorrankedsecond,attracting874.83 million. In the third place, the real estate sector absorbed more than 406million.Investmentsinservice,telecommunication,transportationandminesreached193 million, 14.3millionand14.2 million respectively. Asian countries invested 7.666billioninvariousprojectsfollowedbyseveralmultinationalconsortia.Investmentsbythesemultinationalcompaniesexceeded1.39 billion (in four projects).
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vignette|Évolution historique du PIB réel par habitant en Iran L'économie iranienne combine de fortes participations de l'État dans le pétrole et les grandes entreprises (industrie lourde, biens de consommation...), un système de planification quinquennale et une agriculture villageoise et des petits commerces. L'État complète son contrôle de l'économie par les subventions accordées sur les biens de première nécessité, l'essence et les services publics. La part de l'économie informelle est assez importante.
Le gouvernement iranien gère les moyens d'émission, qui incluent trois stations de radio nationale et deux réseaux nationaux de télévision, aussi bien que des douzaines de stations locales de radio et de télévision. En 2000, il y avait 252 radios et 158 téléviseurs en service pour . Il y avait 219 lignes téléphoniques et 110 PC pour . Les ordinateurs à usage personnel sont devenus plus accessibles au milieu des années 1990, et depuis lors la demande de l'accès à l'Internet a augmenté.
La politique en Iran se déroule dans le cadre d'une république théocratique islamique. Selon la constitution de 1979, promulguée en 1978 par l'ayatollah Khomeini, toutes les institutions et les activités de l'Iran sont fondées sur les principes de la loi coranique et de la théorie du velayat-e faqih (« la tutelle du docteur de la loi religieuse »). À la tête du pays se trouve le « Guide suprême » (Rahbar), autorité religieuse dominante, qui est élu ou/et révoqué par l'Assemblée des experts, composée de religieux élus pour au suffrage universel direct.