La théologie féministe est un courant né au sein du christianisme, du judaïsme, de l'islam, ou d'autres religions, qui questionne et étudie les traditions, pratiques, écritures et théologies de ces religions dans une perspective féministe.
La théologie féministe vise à étudier dans une perspective théologique et historique scientifique le rôle des femmes dans les textes sacrés des religions et au sein de leur milieu religieux d'origine. Elle favorise également une réinterprétation du rôle des femmes qui peut être véhiculé dans l'imagerie et les propos religieux à dominante patriarcale.
Parmi les théologies féministes nées dans la tradition chrétienne, il peut être utile de distinguer les théologies explicitement chrétiennes, qui entendent transformer la théologie de l'intérieur, d'autres théologies féministes qui voient dans le christianisme un système intrinsèquement patriarcal et s'en éloignent, élaborant ainsi des théologies féministes « post-chrétiennes » voire « anti-chrétiennes ».
Les travaux qualifiés de théologie féministe en France apparaissent à la suite du concile Vatican II, en lien avec le féminisme à partir des années 1960. Les travaux s’inspirent des réflexions développées dans le mouvement socio-culturel du féminisme historique. À la suite du concile, la question des femmes dans les Églises est l'un des premiers sujets de débat. Le Conseil œcuménique des Églises organise des groupes de travail et des commissions sur la place des femmes dans les communautés chrétiennes.
Ces travaux comportent une dimension spécifiquement biblique : l'exégèse féministe qui vise, selon Elisabeth Schüssler Fiorenza, à « reconstruire l'histoire chrétienne primitive des femmes » pour éviter que « les traditions et les textes bibliques formulés et codifiés par les hommes [restent] une source d'oppression pour les femmes ».
En 1967, Yvonne Pellé-Douël publie l'ouvrage intitulé Être femme.
Le travail théologique va au delà des rapports psychologiques entre hommes et femmes, et questionne la théologie mariale, les théologies « de la femme », ou « de la féminité ».
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L'environnement construit sera exploré à travers sa performativité grâce aux perspectives offertes par les études de genre ainsi que les théories queers et féministes. Les discussions rendront possibl
To face the climate and social emergency, the construction sector must change radically, as does architectural practice. This studio examines the profession's economic model, and how the traditional '
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The Goddess movement includes spiritual beliefs or practices (chiefly neopagan) that emerged predominantly in North America, Western Europe, Australia, and New Zealand in the 1970s. The movement grew as a reaction to Abrahamic religions, which have only gods with whom are referred by male pronouns, and it uses goddess worship and may include a focus on women or on one or more understandings of gender or femininity. The Goddess movement is a widespread non-centralized trend in neopaganism, and it therefore has no centralized tenets of belief.
vignette|Quatre générations de femmes. Le matriarcat, du latin mater, matris (« mère ») est un régime juridique ou social où la mère est le chef de la famille, ou, par extension, un régime d'organisation sociale dans lequel la femme joue un rôle politique prépondérant. Le terme de « matriarcat » a été construit, à la fin du sur le modèle du terme « patriarcat », du latin pater, patris (« père ») et du grec archein (« commander »). Le matriarcat désigne un système familial ou social dans lesquels le pouvoir est exercé de façon prépondérante par des femmes.
Thealogy views divine matters through feminine perspectives including but not limited to feminism. Valerie Saiving, Isaac Bonewits (1976) and Naomi Goldenberg (1979) introduced the concept as a neologism (new word). Its use then widened to mean all feminine ideas of the sacred, which Charlotte Caron usefully explained in 1993: "reflection on the divine in feminine or feminist terms". By 1996, when Melissa Raphael published Thealogy and Embodiment, the term was well established.
Conference abstract: A type is not a model or an image to be copied, but the deep structure of how things are put together. The Symposium revisits the concept of type by critically reading its previous definitions and by offering a new interpretation of thi ...
A type is not a model or an image to be copied, but the deep structure of how things are put together. The Symposium revisits the concept of type by critically reading its previous definitions and by offering a new interpretation of this rather elusive, but ...
In the mid 90s, a joint enterprise from the Institute of British Geographers and the American Association of Geographers called for unveiling and exploring the various aspects of the subtle relationship that exists between geography and ethics. Bridging ov ...