Jiaohe or Yarkhoto is a ruined city in the Yarnaz Valley, 10 km west of the city of Turpan in Xinjiang Uyghur Autonomous Region, China. It was the capital of the Tocharian kingdom of Jushi. It is a natural fortress located atop a steep cliff on a leaf-shaped plateau between two deep river valleys, and was an important stop along the Silk Road.
The Hou Hanshu, in discussing Jiaohe, alludes to a conventional reading of the name, as meaning "river junction":
The king of Nearer Jushi lives in the town of Jiaohe. A river divides into two and surrounds the town, which is why it is called Jiaohe.
Lionel Giles recorded the following names for the city (with his Wade-Giles forms of the Chinese names substituted with pinyin):
Jiaohe, ancient capital of Turfan [Han].
Jushi Qianwangting (Royal Court of Anterior/Nearer Jushi) [Later Han]
Gaochang Jun [Jin]
Xi Zhou [Tang]
Yarkhoto [modern name].
Aurel Stein has suggested that the name Yarkhoto is a combination of Turkic and Mongolian words, being derived from yar (Turki: ravine) and khoto (Mongolian: town).
From 108 BC to 450 AD Jiaohe was the capital of the Anterior Jushi Kingdom. It was an important site along the Silk Road trade route leading west, and was adjacent to the Korla and Karasahr kingdoms to the west. From 450 AD until 640 AD it became Jiao prefecture in the Tang dynasty, and in 640 AD it was made the seat of the new Jiaohe County. From 640 AD until 658 AD it was also the seat of the Protector General of the Western Regions, the highest level military post of a Chinese military commander posted in the west. Since the beginning of the 9th century it had become Jiaohe prefecture of the Uyghur Khaganate, until their kingdom was conquered by the Kyrgyz soon after in the year 840. Yarkhoto was also built on a plateau and this plateau is 30m high.
The city was built on a large islet (1650 m in length, 300 m wide at its widest point) in the middle of a river which formed natural defenses, which would explain why the city lacked any sort of walls.
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Le Xinjiang (du ), ou Sin-kiang (translittéré en شىنجاڭ translittération latine, Chinjang), officiellement la région autonome ouïghoure du Xinjiang, est une des cinq régions autonomes de la république populaire de Chine. Situé à son extrême ouest, il s'étend sur et occupe un sixième du territoire chinois. Cette région était également connue pour sa partie Nord appellée Dzoungarie, une des khanats de ce que les Occidentaux dénommaient la Tartarie chinoise, puis vers la fin du , sous le nom de Turkestan oriental.
thumb|Localisation du bassin du Tarim. thumb|Plaque en bois avec inscriptions en tokharien. Koutcha, Chine, . Musée national de Tokyo. Les langues tokhariennes, ou agni-kuči, sont une branche de la famille des langues indo-européennes parlées et écrites dans le bassin du Tarim au millénaire , au sud de l'actuelle région autonome du Xinjiang en Chine. Il est possible qu'elles remontent dans la région au début du millénaire mais sans preuve définitive. Elles ont disparu avec l'arrivée des peuples turcophones (en particulier, les Ouïghours), au .
Gaochang (, قاراغوجا, translittération : Qara-hoja), également appelée Qočo, est une ancienne ville-oasis construite dans le nord du désert du Taklamakan au nord de la région autonome du Xinjiang en Chine. Elle a été un point d'étape pour les commerçants sur la route de la soie. Les ruines de la ville sont situées dans le district de Gaochang, à au sud de l'actuelle Tourfan. Pendant les dynasties Yuan et Ming, la ville était nommé par les chinois Halahezhuo () (venant de Qara-khoja), ou encore Huozhou ( ou ).