A chantry is an ecclesiastical term that may have either of two related meanings:
a chantry service, a Christian liturgy of prayers for the dead, which historically was an obiit, or
a chantry chapel, a building on private land, or an area in a parish church or cathedral reserved for the performance of the "chantry duties".
In the Medieval Era through to the Age of Enlightenment it was commonly believed such liturgies might help atone for misdeeds and assist the soul to obtain eternal peace.
The word "chantry" derives from Old French chanter and from the Latin cantare (to sing). Its medieval derivative cantaria means "licence to sing mass". The French term for this commemorative institution is chapellenie (chaplaincy).
Firstly, a chantry could mean the prayers and liturgy in the Christian church for the benefit of the dead, as part of the search for atonement for sins committed during their lives. It might include the mass and by extension, the endowment left for the purpose of the continuance of prayers and liturgy.
It could be called a type of "trust fund" established during the pre-Reformation medieval era in England for the purpose of employing one or more priests to sing a stipulated number of services for the benefit of the soul of a specified deceased person, usually the donor who had established the chantry in his will. There could be a stipulated period of time immediately following her/his death.
It was believed such masses might help atone for misdeeds and with mercy enable the soul to be granted eternal peace in the presence of God. Chantries were commonly established in England and were endowed with lands, rents from specified properties, and other assets of the donor, usually in his will. The income from these assets maintained the "chantry" priest.
Secondly, a chantry chapel is a building on private land or a dedicated area or altar within a parish church or cathedral, set aside or built especially for the performance of the "chantry duties" by the priest.
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vignette|droite|250px|Le roi Henri VIII d'Angleterre. La Réforme anglaise, aussi appelée schisme anglican, fait référence à une série d'événements du , au cours desquels l'Église d'Angleterre rompit avec l'autorité du pape et l'Église catholique romaine. Ces événements faisaient partie d'un processus plus vaste, la Réforme protestante européenne, un mouvement politique et religieux, qui affecta la pratique du christianisme à travers toute l'Europe durant cette période.
Une collégiale (raccourci pour église collégiale) est une église qui possède un chapitre de chanoines composé d'un nombre fixe de clercs séculiers. Tous les chanoines possèdent un siège dans le chœur de l'église afin de s'y réunir et d'y chanter ou réciter l'office divin, une maison canoniale, un revenu et des fonctions précises. Comme une cathédrale, une collégiale est une église capitulaire : c'est-à-dire qu'elle possède un chapitre de chanoines.
La période Tudor est la période historique située entre 1485 et 1603 en Angleterre et au pays de Galles et coïncide avec la dynastie de la Maison des Tudors commençant par l'intronisation du premier monarque Henri VII et se terminant par la fin du règne de la reine Élisabeth . Le mariage d'Henri Tudor de la branche des Lancastre et d'Élisabeth d'York de la branche éponyme met fin à la guerre des Deux-Roses et marque le début de cette période. Sur la totalité de celle-ci, l'historien John Guy soutient en 1988 que .