Résumé
Airglow (also called nightglow) is a faint emission of light by a planetary atmosphere. In the case of Earth's atmosphere, this optical phenomenon causes the night sky never to be completely dark, even after the effects of starlight and diffused sunlight from the far side are removed. This phenomenon originates with self-illuminated gases and has no relationship with Earth's magnetism or sunspot activity. The airglow phenomenon was first identified in 1868 by Swedish physicist Anders Ångström. Since then, it has been studied in the laboratory, and various chemical reactions have been observed to emit electromagnetic energy as part of the process. Scientists have identified some of those processes that would be present in Earth's atmosphere, and astronomers have verified that such emissions are present. Simon Newcomb was the first person to scientifically study and describe airglow, in 1901. Airglow existed in pre-industrial society and was known to the ancient Greeks. "Aristotle and Pliny described the phenomena of Chasmata, which can be identified in part as auroras, and in part as bright airglow nights." Airglow is caused by various processes in the upper atmosphere of Earth, such as the recombination of atoms which were photoionized by the Sun during the day, luminescence caused by cosmic rays striking the upper atmosphere, and chemiluminescence caused mainly by oxygen and nitrogen reacting with hydroxyl free radicals at heights of a few hundred kilometres. It is not noticeable during the daytime due to the glare and scattering of sunlight. Even at the best ground-based observatories, airglow limits the photosensitivity of optical telescopes. Partly for this reason, space telescopes like Hubble can observe much fainter objects than current ground-based telescopes at visible wavelengths. Airglow at night may be bright enough for a ground observer to notice and appears generally bluish. Although airglow emission is fairly uniform across the atmosphere, it appears brightest at about 10° above the observer's horizon, since the lower one looks, the greater the mass of atmosphere one is looking through.
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Proximité ontologique
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Extinction (astronomie)
En astronomie, l'extinction désigne le phénomène – dû à la matière (du gaz et de la poussière en grande majorité) située entre un objet céleste et l'observateur – responsable de l'absorption et de la diffusion de la lumière émise par les objets astronomiques. Pour un observateur situé sur Terre, l'extinction est provoquée à la fois par le milieu interstellaire et par l'atmosphère terrestre. La forte extinction de certaines régions sur spectre électromagnétique (telles que les rayons X, les ultraviolets ou les infrarouges) provoquée par l'atmosphère requiert l'utilisation de télescopes spatiaux.
Brillance de surface
En astronomie, la brillance de surface d'un corps céleste étendu comme une galaxie désigne la densité de flux reçue par unité d'angle solide. Elle est souvent mesurée en magnitude par seconde d'arc au carré (). Certains auteurs donnent aussi cette mesure en employant la minute d'arc. Les unités de la brillance de surface sont alors () La mesure de la brillance de surface dans les longueurs d'onde visible, ou dans l'infrarouge, est la photométrie. Le fond du ciel désigne la brillance de surface du ciel.
Clair de lune
Le clair de lune est la lumière ambiante perçue la nuit sur Terre, en majeure partie venant de son satellite naturel, la Lune, et pour une faible part des étoiles ou du « clair de terre ». Cette lumière est indirecte, la Lune ne fait que refléter celle du Soleil. L'intensité du clair de lune dépend de plusieurs facteurs. La phase lunaire est le principal facteur de brillance, mais même sous la pleine lune, qui est la phase la plus lumineuse, elle ne procure qu'une très faible lumière par rapport au jour solaire : environ (soit fois moins que le Soleil), ce qui ne permet par exemple ni de lire de petites lettres, ni de distinguer les couleurs.
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